Eres Mi Luz
Mi alma quedó muda cuando te conocí, y si no estás grita
Hoy te escribo, serás infinita
Noche de Noviembre y para, el tiempo ya se para
Allí está mi mitad, siempre fuiste mi mitad
¿Dónde estabas antes? Eres Sol y eres mar
Eres aire para el fuego avivando la llama todo o na
Un rayo de luz en mi cama
No había cura, me sanas, un ángel hecho dama
Eres la verdad tras la mirada magia oscura
Más pasa mi vida, más me miras, más me curas
Eres pura, como un do, mi, Sol en manos de Vivaldi
Tu cuerpo no es de Barbie, es de diamante y marfil
Estás haciendo dar mil, vueltas a mis esquemas sin
Tener principio ni fin, la mitad los partí
Eres lo que dicen que no existe
Un corazón que se viste de ilusión cuando esta triste
Arte del que nunca plasmará ni un cineasta
Y preciosa como un fuego rodeado por Alaska
Mágica y eterna como el cuadro de Dorian Grey
Sacas lo mejor de Alex, sacas lo mejor de Blake
Y yo… Perdido en la paz que tú me diste, en mañanas (oh)
Y en la noche sin nah más
Tú eres aire en mi pecho, eres calma
Eres realidad, la ilusión de un niño al verla (oh)
Pa’ cuidarla y entenderla
Una perla en este mar gris, un soplo de aire puro
Mi fuerza pa’ seguir cuando mi mundo se tiñe de oscuro
Tú me haces soñar, seguir, volar, me miras (oh)
Me robas al aliento y un segundo a tu lado son vidas
¿Dónde estabas tú mi vida? Era tan frágil
Pegas mis pedazos, todo, todo lo haces fácil
Eres la respuesta a mis preguntas en cartas a Dios perdidas (oh)
Entraste y desde entonces fuiste mi salida
Serás mi cordura en este jungla
Y cuando muera serás un abrazo eterno al la’o en mi tumba
Eres luz de una vela
Que por dentro ilumina si el mundo me ciega
Que vela, por un corazón cosido con tela
Me hielas, me besas y el presente se congela
Siete de noviembre, noche gélida, ciudad hermosa
Tu cuerpo era poesía; tus ojos, mi prosa
Tus labios otra historia, tu alma era otra cosa
Bendita sea la hora en la que te conocí, diosa
Lerelé, lerelé
Oh
Eieh, eieh
Tu es ma lumière
Mon âme est restée muette quand je t'ai rencontrée, et si tu n'es pas là, ça crie
Aujourd'hui je t'écris, tu seras infinie
Nuit de Novembre et le temps s'arrête, déjà il s'arrête
Là se trouve ma moitié, tu as toujours été ma moitié
Où étais-tu avant ? Tu es le soleil et la mer
Tu es l'air pour le feu, attisant la flamme, tout ou rien
Un rayon de lumière dans mon lit
Il n'y avait pas de remède, tu me guéris, un ange fait femme
Tu es la vérité derrière le regard, magie obscure
Plus ma vie passe, plus tu me regardes, plus tu me guéris
Tu es pure, comme un do, mi, sol dans les mains de Vivaldi
Ton corps n'est pas celui d'une Barbie, il est en diamant et en ivoire
Tu fais tourner mes schémas mille fois sans
Avoir de début ni de fin, j'ai brisé la moitié
Tu es ce qu'on dit qui n'existe pas
Un cœur qui s'habille d'illusion quand il est triste
Art que jamais aucun cinéaste ne pourra capturer
Et précieuse comme un feu entouré par l'Alaska
Magique et éternelle comme le tableau de Dorian Gray
Tu sors le meilleur d'Alex, tu sors le meilleur de Blake
Et moi… Perdu dans la paix que tu m'as donnée, dans les matins (oh)
Et dans la nuit sans rien d'autre
Tu es l'air dans ma poitrine, tu es le calme
Tu es la réalité, l'illusion d'un enfant en te voyant (oh)
Pour la protéger et la comprendre
Une perle dans cette mer grise, un souffle d'air pur
Ma force pour continuer quand mon monde se teint de noir
Tu me fais rêver, avancer, voler, tu me regardes (oh)
Tu me voles le souffle et une seconde à tes côtés vaut des vies
Où étais-tu, ma vie ? C'était si fragile
Tu colles mes morceaux, tout, tout tu rends facile
Tu es la réponse à mes questions dans des lettres à Dieu perdues (oh)
Tu es entrée et depuis tu es ma sortie
Tu seras ma raison dans cette jungle
Et quand je mourrai, tu seras une étreinte éternelle à côté de ma tombe
Tu es la lumière d'une bougie
Qui éclaire de l'intérieur si le monde me rend aveugle
Qui veille, pour un cœur cousu de tissu
Tu me glaces, tu m'embrasses et le présent se fige
Sept novembre, nuit glaciale, ville magnifique
Ton corps était de la poésie ; tes yeux, ma prose
Tes lèvres une autre histoire, ton âme était autre chose
Bénie soit l'heure où je t'ai rencontrée, déesse
Lerelé, lerelé
Oh
Eieh, eieh