DOS MORRITAS (part. Junior H)
Dos morritas a mi lado
Se me quita lo agüitado
Si me rompen el corazón
Pues, traigo, rogón, no ando
Siempre ando bien alegre
La banda hasta que amanece
Amigos que se quedaron al cuadro
Les brindo un trago
Lujos muy exuberantes
Un relojón con diamantes
Y, con la suela roja, voy pisando
Voy paso a paso
Nunca le aflojo, ni le temo al volante
Como un garañón, pues, salí como mi padre
No confió, yo ando en lo mío
Benjamín, buen amigo
En un caballón y un gallito que me arde
Se ofrece en calor, chale, no voy a rajarme
En la Duli, siempre movilizo
Saluditos, ya me voy
Ea, puro Eslabon Armado, compadre, ¡ua!
Compa Junior H, viеjo
Allá por Tijuana, yo ando
Rosarito, un buen relajo
Mi pa, tráigase chelas, que no falte
Lavada también
De las 12 pa' adelante
Mi jefa, anda, llame y llame
Perdón, ama, pero si usted ya sabe
Soy un desmadre
Nunca le aflojo, ni le temo al volante
Como un garañón, pues, salí como mi padre
No confió, yo ando en lo mío
Benjamín, buen amigo
En un caballón y un gallito que me arde
Se ofrece en calor, chale, no voy a rajarme
En la Duli, siempre movilizo
Saluditos, ya me voy
DEUX MORRITAS (feat. Junior H)
Deux morritas à mes côtés
Ça me fait oublier mes soucis
Si on me brise le cœur
Eh bien, je suis là, je ne lâche pas
Je suis toujours de bonne humeur
La bande jusqu'à l'aube
Des amis qui sont restés dans le coin
Je leur offre un verre
Des luxes très extravagants
Une montre avec des diamants
Et, avec mes semelles rouges, je marche
Pas à pas
Je ne lâche jamais, je n'ai pas peur du volant
Comme un étalon, je suis sorti comme mon père
Je ne fais pas confiance, je suis dans mon truc
Benjamín, bon ami
Sur un gros cheval et un petit coq qui me chauffe
Il se propose en chaleur, mince, je ne vais pas reculer
Dans la Duli, je suis toujours en mouvement
Des salutations, je m'en vais
Eh, que du Eslabon Armado, mon pote, ouais !
Mon pote Junior H, vieux
Là-bas à Tijuana, je traîne
Rosarito, un bon délire
Mon père, ramène des bières, qu'il n'en manque pas
Un bon lavage aussi
De minuit à l'aube
Ma mère, elle appelle sans cesse
Désolé, maman, mais tu sais déjà
Je suis un vrai bordel
Je ne lâche jamais, je n'ai pas peur du volant
Comme un étalon, je suis sorti comme mon père
Je ne fais pas confiance, je suis dans mon truc
Benjamín, bon ami
Sur un gros cheval et un petit coq qui me chauffe
Il se propose en chaleur, mince, je ne vais pas reculer
Dans la Duli, je suis toujours en mouvement
Des salutations, je m'en vais
Escrita por: Pedro Tovar Jr.