Te Entrego Mi Corazón (part. Andrés Cepeda)
Te entrego mi corazón
Que al fin se volvió canción
Te entrego el alma
Te entrego en versos de amor
La música que me dejaron mis taitas
Romances en un balcón
Juramentos al amor, tiple y guitarra
Parrandas con acordeón
El valle le canta a la sierra en la mañana
Y la alegría de mi voz en carnavales
Esas fiestas del sur, los naranjales
Y los joropos que despeinan morichales
El bambuco y su aroma de cafetales
Me enamoré en tus ojos verdes como mares
De un pueblo viejo con sus pesares
Y así aprendí que a veces lloran los guaduales
Y que una casa se hace en el aire
Te entrego mi corazón
Igual que se entrega el mar en una orilla
Palpita como un tambor de cumbia
Bajo la Luna de Barranquilla
Si yo pudiera encontrar las palabras
Si tu entendieras que mi canto no alcanza
Si estamos juntos el camino que hiere
Más fácil se anda
Te quiero tanto
Tanto que hasta me duele cuando te canto
Siento lo que tu sientes
La risa, el llanto
al final sigo siendo lo mismo que tú eres
Me enamoré en tus ojos verdes como mares
De un pueblo viejo con sus pesares
Y así aprendí que a veces lloran los guaduales
Y que una casa se hace en el aire
Se hace en el aire
Se hace en el aire
Je Te Donne Mon Cœur (feat. Andrés Cepeda)
Je te donne mon cœur
Qui enfin est devenu chanson
Je te donne mon âme
Je te livre en vers d'amour
La musique que m'ont laissée mes ancêtres
Romances sur un balcon
Jurements d'amour, tiple et guitare
Fêtes avec accordéon
La vallée chante à la montagne le matin
Et la joie de ma voix lors des carnavals
Ces fêtes du sud, les vergers d'oranges
Et les joropos qui décoiffent les morichales
Le bambuco et son parfum de caféiers
Je suis tombé amoureux de tes yeux verts comme des mers
D'un vieux village avec ses peines
Et ainsi j'ai appris que parfois les guaduales pleurent
Et qu'une maison se construit dans l'air
Je te donne mon cœur
Tout comme la mer se livre sur une rive
Il bat comme un tambour de cumbia
Sous la Lune de Barranquilla
Si je pouvais trouver les mots
Si tu comprenais que mon chant n'atteint pas
Si nous sommes ensemble, le chemin qui blesse
Est plus facile à parcourir
Je t'aime tant
Tant que ça me fait mal quand je te chante
Je ressens ce que tu ressens
Le rire, les larmes
Au final, je reste le même que tu es
Je suis tombé amoureux de tes yeux verts comme des mers
D'un vieux village avec ses peines
Et ainsi j'ai appris que parfois les guaduales pleurent
Et qu'une maison se construit dans l'air
Se construit dans l'air
Se construit dans l'air