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À MA MANIÈRE

La Beriso

A MI MANERA

Estoy mirando atrás
Y puedo ver mi vida entera
Y sé que estoy en paz
Pues la viví a mi manera

Crecí sin derrochar
Logré abrazar al mundo todo
Y más mil sueños más
Viví a mi modo

Dolor lo conocí
Y recibí compensaciones
Seguí sin vacilar
Logré vencer las decepciones

Mi plan jamás falló
Y me mostró mil y un recodos
Y más y mucho más
Viví a mi modo

Ese fui yo que arremetí
Hasta el azar quise perseguir
Si me oculté si me arriesgué
Lo que perdí no lo lloré
Porque viví siempre viví
A mi manera

Amé también sufrí
Y compartí camino largos
Perdí y rescaté
más no guardé tiempos amargos

Jamás me arrepentí
Si amando di todos mis sueños
Lloré y si reí
Fue a mi manera

Que pueden decir o criticar
Si yo aprendí a renunciar
Si hay que morir y hay que pasar
Nada dejé sin entregar
Porque viví siempre viví
A mi manera
Porque viví siempre viví
A mi manera

À MA MANIÈRE

Je regarde en arrière
Et je peux voir toute ma vie
Et je sais que je suis en paix
Car je l'ai vécue à ma manière

J'ai grandi sans gaspiller
J'ai réussi à embrasser le monde entier
Et mille rêves de plus
J'ai vécu à ma façon

La douleur, je l'ai connue
Et j'ai reçu des compensations
J'ai continué sans hésiter
J'ai réussi à surmonter les déceptions

Mon plan n'a jamais échoué
Et il m'a montré mille et un chemins
Et encore et encore
J'ai vécu à ma façon

C'était moi qui ai foncé
J'ai même voulu poursuivre le hasard
Si je me suis caché, si j'ai pris des risques
Ce que j'ai perdu, je ne l'ai pas pleuré
Car j'ai vécu, toujours vécu
À ma manière

J'ai aimé, j'ai aussi souffert
Et j'ai partagé de longs chemins
J'ai perdu et j'ai récupéré
Mais je n'ai pas gardé de temps amers

Je ne me suis jamais repenti
Si en aimant, j'ai donné tous mes rêves
J'ai pleuré et si j'ai ri
C'était à ma manière

Que peuvent-ils dire ou critiquer
Si j'ai appris à renoncer
S'il faut mourir et passer
Je n'ai rien laissé sans donner
Car j'ai vécu, toujours vécu
À ma manière
Car j'ai vécu, toujours vécu
À ma manière

Escrita por: C. Francois / Jacques Revaux / Paul Anka