50 Mentadas (part. Christian Nodal)
No nos entendimos, se acabó y ni modo
Cada quien su rumbo, ahí que muera todo
Y no te preocupes por dejarme solo
A eso de la depre ya le agarré el modo
Un suspiro al viento y un tequila doble
Una buena vieja, no le hace que cobre
50 mentadas, 100 para que sobren
Pero ahora se quiebra más primero un roble
Te sentías ahogada, querías libertades
Me echabas en cara las desigualdades
Desde que me acuerdo, siempre han sido iguales
Mi genio y carácter, cultura y modales
Ahora no me aguantas, ′tas hasta la madre
No se te hace, mija, que es un poco tarde
Así me aceptaste y hoy quieres que cambie
O aguantas la vara o a Chihuahua al baile
Un suspiro al viento y un tequila doble
Una buena vieja no le hace que cobre
50 mentadas, 100 para que sobren
Pero ahora se quiebra más primero un roble
Te sentías ahogada, querías libertades
Me echabas en cara las desigualdades
Desde que me acuerdo, siempre han sido iguales
Mi genio y carácter, cultura y modales
Ahora no me aguantas, 'tas hasta la madre
No se te hace, mija, que es un poco tarde
Así me aceptaste y hoy quieres que cambie
O aguantas la vara o a Chihuahua al baile
50 Insultes (feat. Christian Nodal)
On ne s'est pas compris, c'est fini, tant pis
Chacun son chemin, que tout meure ici
Et ne t'inquiète pas de me laisser seul
J'ai pris le coup de la déprime, c'est bon
Un soupir au vent et un tequila double
Une bonne femme, peu importe qu'elle demande
50 insultes, 100 pour en avoir de trop
Mais maintenant, c'est un chêne qui se casse d'abord
Tu te sentais étouffée, tu voulais des libertés
Tu me reprochais les inégalités
Depuis que je me souviens, c'est toujours pareil
Mon caractère, ma culture et mes manières
Maintenant tu ne peux plus me supporter, t'en as ras-le-bol
Tu ne trouves pas, ma chérie, que c'est un peu tard
C'est comme ça que tu m'as accepté et maintenant tu veux que je change
Soit tu fais avec, soit à Chihuahua on danse
Un soupir au vent et un tequila double
Une bonne femme, peu importe qu'elle demande
50 insultes, 100 pour en avoir de trop
Mais maintenant, c'est un chêne qui se casse d'abord
Tu te sentais étouffée, tu voulais des libertés
Tu me reprochais les inégalités
Depuis que je me souviens, c'est toujours pareil
Mon caractère, ma culture et mes manières
Maintenant tu ne peux plus me supporter, t'en as ras-le-bol
Tu ne trouves pas, ma chérie, que c'est un peu tard
C'est comme ça que tu m'as accepté et maintenant tu veux que je change
Soit tu fais avec, soit à Chihuahua on danse