TBC
Lu, Lu
Eh
No fueron las flores, tampoco la cena
No fue la cubana ni los tenis Dolce
No fue la nave que te da masaje'
Ni lo bien que corre
Fue que busqué entre tu piel
El cantito perfecto
Y te besé, te besé, te besé
Hasta dejar de respirar
Como aquella noche
Tú y yo en Ocean Park
Y yo sé
Que a ti no te importa na' de lo material
La habitación en modo ¡no interrumpas!
Pero hoy se me contestan las preguntas
Ya sé lo que te gusta
Que te besé hasta dejar de respirar
Tú tienes el piquete de las Vans
Y rompes también con las Air Force One
Contigo no me importa que la tarjeta dé decline
Yo la llevo pa'l motel y después pa'l trabajo on time
Que la uni ya la tiene aborrecida
Y dice: Si no me vas a comer, no me mires así
Y yo le soy fiel solamente de enero a diciembre
Hasta le doy la clave del cel
Nunca me voy a cansar
Lo sé
Con tanto infiel que vive
Ya no se puede creer
Pero algo pasa que tú te pegas
Y me siento como un rey, hey, hey
Y las malas vibras, yo no las veo
Mientras te deseo, hasta dejar de respirar
Como aquella noche
Tú y yo en Ocean Park
Y yo sé
Que a ti no te importa na' de lo material
La habitación en modo ¡no interrumpas!
Pero hoy se me contestan las preguntas
Ya sé lo que te gusta
Que te besé hasta dejar de respirar
(Como aquella noche)
(Tú y yo en Ocean Park)
(Y yo sé)
(Que a ti no te importa na' de lo material)
(La habitación en modo ¡no interrumpas!)
(Pero hoy se me contestan las preguntas)
(Ya sé lo que te gusta)
(Que te besé hasta dejar de respirar)
TBC
Lu, Lu
Eh
Ce n'étaient pas les fleurs, ni le dîner
Ce n'était pas la cubaine ni les baskets Dolce
Ce n'était pas le vaisseau qui te masse
Ni la façon dont tu cours
C'est que j'ai cherché dans ta peau
Le petit son parfait
Et je t'ai embrassé, t'ai embrassé, t'ai embrassé
Jusqu'à ne plus respirer
Comme cette nuit-là
Toi et moi à Ocean Park
Et je sais
Que ça t'importe pas des masses, le matériel
La chambre en mode « ne dérange pas ! »
Mais aujourd'hui, je reçois les réponses
Je sais ce que tu aimes
Que je t'ai embrassée jusqu'à ne plus respirer
T'as le style des Vans
Et tu déchires aussi avec les Air Force One
Avec toi, je me fous que la carte soit refusée
Je l'emmène au motel et après au boulot à l'heure
Parce que l'université, elle en a marre
Et elle dit : Si tu ne me manges pas, ne me regarde pas comme ça
Et je lui reste fidèle seulement de janvier à décembre
Je lui donne même le code de mon portable
Je ne vais jamais me lasser
Je le sais
Avec tant de trompeurs qui vivent
On peut plus y croire
Mais il se passe quelque chose, tu te colles à moi
Et je me sens comme un roi, hey, hey
Et les mauvaises vibes, je ne les vois pas
Tandis que je te désire, jusqu'à ne plus respirer
Comme cette nuit-là
Toi et moi à Ocean Park
Et je sais
Que ça t'importe pas des masses, le matériel
La chambre en mode « ne dérange pas ! »
Mais aujourd'hui, je reçois les réponses
Je sais ce que tu aimes
Que je t'ai embrassée jusqu'à ne plus respirer
(Comme cette nuit-là)
(Toi et moi à Ocean Park)
(Et je sais)
(Que ça t'importe pas des masses, le matériel)
(La chambre en mode « ne dérange pas ! »)
(Mais aujourd'hui, je reçois les réponses)
(Je sais ce que tu aimes)
(Que je t'ai embrassée jusqu'à ne plus respirer)