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Iría hasta Auvernia

Enrico Macias

J'irai jusqu'en Auvergne

Loin des bruits de la ville, j'irai jusqu'en Auvergne
(Echer??) la flûte à l'ombre des sapins
Dans la rosée fraîche du matin.
Loin des bruits de la ville, dans une vieille auberge
Tout paraît simple et tout paraît plus beau
Quand on s'éveille au chant des oiseaux,
Dès que je serai là-bas
Ne téléphonez pas
Je veux oublier la vie
Quelques jours loin de Paris.
Mais si vous passez par là
Venez vous reposer chez moi
Vous verrez qu'il est bien joli
Ce pays.

Loin des bruits de la ville, j'irai jusqu'en Auvergne
Sur les collines couvertes de bruyère
On a tous les parfums de la terre.
Loin des bruits de la ville, dans une vieille auberge
Le soir venu, devant la cheminée
J'écouterai chanter les bergers.
Le dimanche on va danser
Sur la place du marché
Les hommes ont de beaux chapeaux
Et des blouses et des sabots
Les filles sont bien jolies
Quand elles dansent toute la nuit
Quand elles pensent à prendre un mari
Pour la vie.

Loin des bruit de la ville, j'irai jusqu'en Auvergne
Oui, le soleil m'a donné rendez-vous
C'est un ami qui me suit partout
Loin des bruits de la ville, je pars le coeur tranquille
Viens avec moi, toi qui me dis toujours
Qu'on vit très bien d'eau fraîche et d'amour.
Viens avec moi, toi qui me dis toujours
Qu'on vit très bien d'eau fraîche et d'amour
La la la la la la la la

Iría hasta Auvernia

Lejos de los ruidos de la ciudad, iré hasta Auvernia
(Echer??) la flauta a la sombra de los pinos
En el rocío fresco de la mañana.
Lejos de los ruidos de la ciudad, en una vieja posada
Todo parece simple y todo parece más hermoso
Cuando uno despierta al canto de los pájaros,
Tan pronto como esté allí
No llamen por teléfono
Quiero olvidar la vida
Unos días lejos de París.
Pero si pasan por ahí
Vengan a descansar a mi lado
Verán que es muy bonito
Este país.

Lejos de los ruidos de la ciudad, iré hasta Auvernia
En las colinas cubiertas de brezo
Tenemos todos los perfumes de la tierra.
Lejos de los ruidos de la ciudad, en una vieja posada
Al caer la noche, frente a la chimenea
Escucharé cantar a los pastores.
Los domingos vamos a bailar
En la plaza del mercado
Los hombres llevan sombreros hermosos
Y blusas y zuecos
Las chicas son muy bonitas
Cuando bailan toda la noche
Cuando piensan en casarse
Para toda la vida.

Lejos de los ruidos de la ciudad, iré hasta Auvernia
Sí, el sol me ha citado
Es un amigo que me sigue a todas partes
Lejos de los ruidos de la ciudad, me voy con el corazón tranquilo
Ven conmigo, tú que siempre me dices
Que se vive muy bien con agua fresca y amor.
Ven conmigo, tú que siempre me dices
Que se vive muy bien con agua fresca y amor
La la la la la la la la

Escrita por: Enrico Macias