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Sauter

Métricas Frías

Dando Saltos

Soy el mejor acompañante para perder el tiempo
En un parque poco limpio con olor a muerto
Hago caso omiso a lo de todo esta resuelto
El reloj entapo, los dientes tiempo

Cargaría la culpa pero tanto peso no aguanto
Me llaman porquería, porque rapie porque quería
Y cuídense de lo que estoy planeando
Serenatas sin mariachis con las coplas frias

Deje el cuaderno temblando, y sus sonrisas vacias
Queda un cachito de hachis
No me molesten puede que quizás sonría, y así voy
Pasando los días, yo

Tengo la cara de tonto, a quien se le perdió el mundo
Llevo tiempo girando como trompo, sin poder fijar el rumbo

Dando saltos
Vuelo alto
Y me derumbo, yo

Tengo la cara de tonto, a quien se le perdió el mundo
Llevo tiempo girando como trompo, sin poder fijar el rumbo

Dando saltos
Vuelo alto
Y me derrumbó, yo

Al menos me quedan recuerdos
Baños de pinturas, de rodillos, peleas con tombos
Masajes de bolillos, nuestro rumbo marcado por lillos
Me voy de un soplo hecho polvo y vuelvo

Con la cara de, no entiendo, sencillo
Uno prendo, escribo, no dependo de dar brillos
Mi rap guarda recuerdo como paredes guardan tracks de los míos
Al final de los pasillos, yo

Tengo la cara de tonto, a quien se le perdió el mundo
Llevo tiempo girando como trompo, sin poder fijar el rumbo

Dando saltos
Vuelo alto
Y me derrumbo, yo

Tengo la cara de tonto, a quien se le perdió el mundo
Llevo tiempo girando como trompo, sin poder fijar el rumbo

Dando saltos
Vuelo alto
Y me derrumbo

Sauter

Je suis le meilleur compagnon pour perdre du temps
Dans un parc pas très propre avec une odeur de mort
J'ignore tout, tout est réglé
L'horloge s'est arrêtée, le temps s'est figé

Je porterais la culpabilité mais je ne peux pas supporter ce poids
On m'appelle déchet, parce que j'ai rapé parce que je le voulais
Et faites attention à ce que je prépare
Des sérénades sans mariachis avec des refrains froids

J'ai laissé le carnet tremblant, et leurs sourires vides
Il reste un petit morceau de hachis
Ne me dérangez pas, peut-être que je sourirai, et ainsi je passe
Les jours, moi

J'ai la tête de l'idiot, celui à qui le monde a échappé
Je tourne depuis un moment comme un toupie, sans pouvoir fixer le cap

Sautant
Je vole haut
Et je m'effondre, moi

J'ai la tête de l'idiot, celui à qui le monde a échappé
Je tourne depuis un moment comme un toupie, sans pouvoir fixer le cap

Sautant
Je vole haut
Et je me suis effondré, moi

Au moins, il me reste des souvenirs
Des bains de peinture, des rouleaux, des bagarres avec des flics
Des massages de rouleaux, notre chemin tracé par des lillos
Je pars en un souffle, réduit en poussière et je reviens

Avec le visage de, je ne comprends pas, c'est simple
J'allume, j'écris, je ne dépends pas de briller
Mon rap garde des souvenirs comme les murs gardent mes traces
Au bout des couloirs, moi

J'ai la tête de l'idiot, celui à qui le monde a échappé
Je tourne depuis un moment comme un toupie, sans pouvoir fixer le cap

Sautant
Je vole haut
Et je m'effondre, moi

J'ai la tête de l'idiot, celui à qui le monde a échappé
Je tourne depuis un moment comme un toupie, sans pouvoir fixer le cap

Sautant
Je vole haut
Et je m'effondre

Escrita por: Santiago Marín Villa