Luciérnagas (part. Silvio Rodríguez)
Le cebé uno al cielo para ver si tal vez mirabas para acá
Yo sé que murió tu amanecer y su razón de anaranjar
Porque siempre queremo' volver a dónde uno antes fue feliz
Y nos olvidamo' que vivir es estar ahora, es estar aquí
Miro las luciérnagas que habían bien en lo profundo en tu corazón
Veo cómo bailan en un rosario, acostumbradas a oír tu voz
Si miro tu rostro, vuelvo a nacer, pasará la vida y no volverás
Yo no veo tu cara en el ataúd, veo un ser de lu' desaparecer
Me voy
Desaparecer
Siempre (tara-rara, lai-lai-lai)
Me voy (lai-lai-lai)
Desaparecer (lai-lai-lai)
Siempre
Ya me siento un niño de papel que vive con miedo de olvidar
Cuando sonrojabas esas mejillas con sentimientos de cristal
Por la noche, exploto y pienso en terminar con todo y volver a mí
Hoy la vida llora porque perdió otra hermosa flor de su jardín
Miro las luciérnagas que habían bien en lo profundo en tu corazón
Veo cómo bailan en un rosario, acostumbradas a oír tu voz
Si miro tu rostro, vuelvo a nacer, pasará la vida y no volverás
Yo no veo tu cara en el ataúd, veo un ser de lu'
Dicen que el ser humano valora el tiempo cuando no hay
Pero juraría que disfruté cada segundito que hubo a la par
De tu presencia
Esa esencia rota, pero fiel, que dejó tu ausencia
Esa ciencia loca de resolver
Te veo, te sueño y te extraño (me voy)
Te veo, te sueño y te extraño
Te veo, te sueño y te extraño
(Siempre) te veo, te sueño y te extraño
Te veo, te sueño y te extraño (me voy)
Te veo, te sueño y te extraño
Te veo, te sueño y te extraño
(Siempre) te veo, te sueño y te extraño
Te veo, te sueño, te extraño
Te veo, te sueño, te extraño (tara-rara, lai-lai-lai)
Te veo, te sueño, te extraño (lai-lai-lai)
Te veo, te sueño, te extraño (lai)
Luciole (feat. Silvio Rodríguez)
J'ai levé les yeux vers le ciel pour voir si peut-être tu regardais ici
Je sais que ton lever de soleil est mort et sa raison d'être orange
Parce qu'on veut toujours revenir là où on a été heureux
Et on oublie que vivre, c'est être maintenant, c'est être ici
Je regarde les lucioles qui brillaient au fond de ton cœur
Je vois comment elles dansent en un chapelet, habituées à entendre ta voix
Si je regarde ton visage, je renais, la vie passera et tu ne reviendras pas
Je ne vois pas ton visage dans le cercueil, je vois un être de lumière disparaître
Je m'en vais
Disparaître
Toujours (tara-rara, lai-lai-lai)
Je m'en vais (lai-lai-lai)
Disparaître (lai-lai-lai)
Toujours
Je me sens déjà comme un enfant en papier qui vit avec la peur d'oublier
Quand tu rougissais ces joues avec des sentiments de cristal
La nuit, j'explose et je pense à tout finir et revenir à moi
Aujourd'hui la vie pleure parce qu'elle a perdu une autre belle fleur de son jardin
Je regarde les lucioles qui brillaient au fond de ton cœur
Je vois comment elles dansent en un chapelet, habituées à entendre ta voix
Si je regarde ton visage, je renais, la vie passera et tu ne reviendras pas
Je ne vois pas ton visage dans le cercueil, je vois un être de lumière
On dit que l'être humain valorise le temps quand il n'y en a plus
Mais je jurerais que j'ai profité de chaque petit instant passé à tes côtés
De ta présence
Cette essence brisée, mais fidèle, que ton absence a laissée
Cette science folle de résoudre
Je te vois, je te rêve et tu me manques (je m'en vais)
Je te vois, je te rêve et tu me manques
Je te vois, je te rêve et tu me manques
(Toujours) je te vois, je te rêve et tu me manques
Je te vois, je te rêve et tu me manques (je m'en vais)
Je te vois, je te rêve et tu me manques
Je te vois, je te rêve et tu me manques
(Toujours) je te vois, je te rêve et tu me manques
Je te vois, je te rêve, tu me manques
Je te vois, je te rêve, tu me manques (tara-rara, lai-lai-lai)
Je te vois, je te rêve, tu me manques (lai-lai-lai)
Je te vois, je te rêve, tu me manques (lai)
Escrita por: Milo j / Hector Alfredo Rosales / Norberto Jorge Ambros / Hamlet Lima Quintana