Como Tú, Todas
Como tú, todas
Como tú, ninguna
Yo solo soy el cuerpo
Ni amor, ni fortuna
Las mismas manos sucias
Que te cogen en ayunas
Que te suben sin miseria
Pa´que puedas ver la luna
Más cerca, yo no soy bueno y tú eres terca
Aún sabiendo que te daño te me acercas
Yo me lavo las manos, tú tocaste a mi puerta
Y no me sueltas de los labios hasta que te deje muerta
A la gente diles lo que quieras…
Que soy malo, que ando con rameras
Yo ya no vuelvo mami aunque te quiera
Porque pa´una más o menos prefiero veinte cualquieras
Son más cuerpos y menos ojeras
Ellas no se llevan mis camperas
Tú Guantánamo y yo Guantanamera
Soy todo lo contrario a lo que esperas
Pero cuando quieras te espero
Tú sabes que yo siempre quiero
Más las que viniste que las que se fueron
Siguen pasando los eneros
Y es más lo que tú has visto que lo que ellas vieron
No soy un mal nacido, no no no
Siempre eres tú quien se quita el vestido
Los niños buenos nunca dejamos servido
Y cuando tú vienes yo nunca me he ido
También sé que me echas de menos
Porque te lo hago a la medida mami
Ni más, ni menos
Soy un V8 sin freno
Mi caja cambia a ocho mil
Nunca me lleno
A estas alturas no reclames nada
Te gusta el rapper de los ojos tristes
Mami otra vez la cama está mojada
Yo soy la misma mierda
Desde que me conociste
A estas alturas no reclames nada
Te gusta el rapper de los ojos tristes
Mami otra vez la cama está mojada
Yo soy la misma mierda
Desde que me conociste
Como tú, todas
Como tú, ninguna
Yo solo soy el cuerpo
Ni amor, ni fortuna
Las mismas manos sucias
Que te cogen en ayunas
Que te suben sin miseria
Pa´que puedas ver la luna
Comme Toi, Toutes
Comme toi, toutes
Comme toi, aucune
Je ne suis qu'un corps
Ni amour, ni fortune
Les mêmes mains sales
Qui te prennent à jeun
Qui te soulèvent sans misère
Pour que tu puisses voir la lune
Plus près, je ne suis pas bien et tu es têtue
Même en sachant que je te fais du mal, tu t'approches de moi
Je me lave les mains, tu as frappé à ma porte
Et tu ne me lâches pas les lèvres jusqu'à ce que je te laisse morte
Dis aux gens ce que tu veux...
Que je suis mauvais, que je traîne avec des putes
Je ne reviens plus, mami, même si je t'aime
Parce que pour une de plus ou moins, je préfère vingt n'importe qui
Ce sont plus de corps et moins de cernes
Elles ne prennent pas mes vestes
Toi Guantánamo et moi Guantanamera
Je suis tout le contraire de ce que tu attends
Mais quand tu veux, je t'attends
Tu sais que je veux toujours
Plus de celles qui sont venues que de celles qui sont parties
Les janvier continuent de passer
Et c'est plus ce que tu as vu que ce qu'elles ont vu
Je ne suis pas un mal né, non non non
C'est toujours toi qui enlèves la robe
Les bons garçons ne laissent jamais le service
Et quand tu viens, je ne suis jamais parti
Je sais aussi que tu me manques
Parce que je te fais sur mesure, mami
Ni plus, ni moins
Je suis un V8 sans frein
Ma boîte passe à huit mille
Je ne suis jamais rassasié
À ce stade, ne réclame rien
Tu aimes le rappeur aux yeux tristes
Mami, encore une fois, le lit est mouillé
Je suis la même merde
Depuis que tu m'as connu
À ce stade, ne réclame rien
Tu aimes le rappeur aux yeux tristes
Mami, encore une fois, le lit est mouillé
Je suis la même merde
Depuis que tu m'as connu
Comme toi, toutes
Comme toi, aucune
Je ne suis qu'un corps
Ni amour, ni fortune
Les mêmes mains sales
Qui te prennent à jeun
Qui te soulèvent sans misère
Pour que tu puisses voir la lune