José José
Casi todos sabemos querer
Pero pocos sabemos amar
Es que amar y querer no es igual
Amar es sufrir querer es gozar
El que ama pretende servir
El que ama su vida la da
Y el quiere pretende vivir
Y nunca sufrir y nunca sufrir
El que ama no puede pensar
Todo lo da, todo lo da
El que quiere pretender olvidar
Y nunca llorar y nunca llorar
El querer pronto puede acabar
El amor no conoce el final
Y es que todos sabemos querer
Pero pocos sabemos amar
Lagrimas, el lenguaje mudo de tu pena
Lagrimas, la callada voz de tu tristeza
Lagrimas, la expresión mojada de tu alma
Lagrimas, la visible muestra de que me amas
Lagrimas, de pasiones ondas y de heridas
Lagrimas, de dolor profundo y de alegrías
Lagrimas, la palabra fiel de tu amargura
Lagrimas, la verdad final que tu no ocultas, lagrimas
Pero lo dudo, conmigo te mecías en el aire
Volabas en caballo blanco el mundo
Y aquellas cosas no podrán volver
Y es que lo dudo porque hasta veces
Me has llorado con un beso
Llorando de alegría y no de miedo
Y dudo, que te pase igual con él, igual con él
José José
Presque tous savent désirer
Mais peu savent vraiment aimer
Aimer et désirer, c'est pas pareil
Aimer, c'est souffrir, désirer, c'est se réjouir
Celui qui aime veut servir
Celui qui aime donne sa vie
Et celui qui désire veut vivre
Et ne jamais souffrir, ne jamais souffrir
Celui qui aime ne peut penser
Il donne tout, il donne tout
Celui qui désire veut oublier
Et ne jamais pleurer, ne jamais pleurer
Le désir peut vite s'éteindre
L'amour ne connaît pas de fin
Et c'est que tous savent désirer
Mais peu savent vraiment aimer
Larmes, le langage muet de ta peine
Larmes, la voix silencieuse de ta tristesse
Larmes, l'expression mouillée de ton âme
Larmes, la preuve visible que tu m'aimes
Larmes, des passions profondes et des blessures
Larmes, de la douleur intense et des joies
Larmes, le mot fidèle de ton amertume
Larmes, la vérité ultime que tu ne caches pas, larmes
Mais j'en doute, avec moi tu te balançais dans les airs
Tu volais sur un cheval blanc à travers le monde
Et ces choses ne reviendront pas
Et j'en doute parce qu'il arrive parfois
Que tu as pleuré avec un baiser
Pleurer de joie et non de peur
Et je doute que ça te fasse pareil avec lui, pareil avec lui