Que Triste (part. Carin Leon)
Qué triste cuando me dijiste
Que ya no querías, que me olvidarías
Yo prendí un cigarro
Y se me va la vida
Yo te amaba tanto y ahora tomo tanto
En la calle borracho como un vagabundo
Sin tu compañía
¿Qué hago con la herida? Na-na-na
Qué triste que no me hayas valorado
Yo que te daba todo y ahora te importó un carajo
Ay, qué triste que me dejaste tirado
Yo que te daba todo y ahora te importé un carajo
Qué triste
Me siento desde que te fuiste
Me la paso loco y ondeado
Tanto trago me trae los cables cruzados
Ando un poquito inestable
Qué triste me siento nomás de acordarme
Pero solo una cosa te digo
Esta es la última perra canción que te escribo
Salud y que Dios te bendiga
Ya no sé ni por qué gasto mi saliva
Se acabó tu pendejo, mi vida
Tus mamadas abajo, yo voy de subida
Qué triste perderme
Qué triste no verme
Qué hueva pensarme
Y tú queriendo comerme
Qué triste perderme
Qué triste no verme
Qué hueva pensarte
Y yo queriendo comerte
Ay, qué triste que no me hayas valorao
Yo que te daba todo y ahora te importé un carajo
Qué triste que me dejaste tirado
Yo que te daba todo y ahora te importó un carajo
Yo sigo fumando cigarro
Por más que trato, no me agarro
Soy cantina, soy hombre de barrio
Tu corazón ma' malo que un sicario
Me pusiste a rezar el rosario
A las 7 despego a montar a caballo
No vengas a buscarme
Si después tú me ves millonario
Pero qué tristeza, qué decepción
A mis heridas pusiste limón
Y me arde en el alma
Haberme comido todas tus palabras, son balas de salva
Pues no me mataste, vas a volver
Y tener que arrastrarte, vas a llorar
Tú vas a suplicarme
Vas a pagar más temprano que tarde
Pero qué tristeza, qué decepción
En mis heridas pusiste limón
Y me arde en el alma
Haberme tragado todas tus palabras, son balas de salva
Pues no me mataste, vas a volver
Y tener que arrastrarte, vas a llorar
Tú vas a suplicarme
Vas a pagar más temprano que tarde
Qué triste que no me hayas valorado
(No me hayas valorado)
Yo que te daba todo y ahora te importó un carajo
(Te importó un carajo, te importó un carajo)
Qué triste que me dejaste tirado
(Me dejaste tirado)
Yo que te daba todo y ahora te importó un carajo
(Te importó un carajo, te importó un carajo)
Es Carín León
Carín León
De Colombia hasta México
Piso 21
Súbete, súbete
¡Y ay, ¡ay!
Que Triste (part. Carin Leon)
Que c'est triste quand tu m'as dit
Que tu ne voulais plus, que tu m'oublierais
J'ai allumé une clope
Et ma vie s'en va
Je t'aimais tant et maintenant je bois trop
Dans la rue, ivre comme un clochard
Sans ta compagnie
Que faire avec cette blessure ? Na-na-na
Que c'est triste que tu ne m'aies pas valorisé
Moi qui te donnais tout et maintenant tu t'en fous
Oh, que c'est triste que tu m'aies laissé sur le carreau
Moi qui te donnais tout et maintenant je ne compte plus pour toi
Que c'est triste
Je me sens depuis que tu es partie
Je passe mon temps à devenir fou et à errer
Trop d'alcool me rend fou
Je suis un peu instable
Que c'est triste de juste y penser
Mais une chose je te dis
C'est la dernière putain de chanson que je t'écris
Santé et que Dieu te bénisse
Je ne sais même plus pourquoi je gaspille ma salive
C'est fini, espèce de con, ma vie
Tes conneries en bas, moi je monte
Que c'est triste de me perdre
Que c'est triste de ne pas me voir
Que c'est chiant de penser à moi
Et toi, voulant me dévorer
Que c'est triste de me perdre
Que c'est triste de ne pas me voir
Que c'est chiant de penser à toi
Et moi, voulant te dévorer
Oh, que c'est triste que tu ne m'aies pas valorisé
Moi qui te donnais tout et maintenant je ne compte plus pour toi
Que c'est triste que tu m'aies laissé sur le carreau
Moi qui te donnais tout et maintenant tu t'en fous
Je continue à fumer des clopes
Peu importe combien j'essaie, je ne me reprends pas
Je suis un homme de bar, un homme de quartier
Ton cœur, plus mauvais qu'un tueur à gages
Tu m'as fait prier le rosaire
À 7h, je pars monter à cheval
Ne viens pas me chercher
Si après tu me vois millionnaire
Mais quelle tristesse, quelle déception
Sur mes blessures, tu as mis du citron
Et ça me brûle dans l'âme
D'avoir gobé toutes tes paroles, ce sont des balles à blanc
Car tu ne m'as pas tué, tu vas revenir
Et devoir ramper, tu vas pleurer
Tu vas me supplier
Tu vas payer plus tôt que tard
Mais quelle tristesse, quelle déception
Sur mes blessures, tu as mis du citron
Et ça me brûle dans l'âme
D'avoir gobé toutes tes paroles, ce sont des balles à blanc
Car tu ne m'as pas tué, tu vas revenir
Et devoir ramper, tu vas pleurer
Tu vas me supplier
Tu vas payer plus tôt que tard
Que c'est triste que tu ne m'aies pas valorisé
(Que tu ne m'aies pas valorisé)
Moi qui te donnais tout et maintenant tu t'en fous
(Tu t'en fous, tu t'en fous)
Que c'est triste que tu m'aies laissé sur le carreau
(Moi qui t'ai laissé sur le carreau)
Moi qui te donnais tout et maintenant tu t'en fous
(Tu t'en fous, tu t'en fous)
C'est Carín León
Carín León
De Colombie à Mexique
Piso 21
Monte, monte
Et oh, oh!