Desarmados (part. Nanpa Básico)
Y qué bonito fue tenerte, besarte, abrazarte
Gritarle al mundo que te amo en mi canción
Tú me juraste que me amarías para siempre
Y qué tristeza que solo fue una ilusión
Tú me rompiste en tantas partes
Y aunque lo intento, yo ya no me puedo armar
Hay una herida que me has hecho, aquí en el pecho
No hay medicina que me la pueda curar
(Santa RM)
Baby, yo ya no te miento
Cargo tanto sentimiento
Llevo toda la semana tomando Bucanas pa' ver si reviento
Porque despierto y tú ya no estás
Y de mis sueños tú no te vas
Cómo le puedo explicar a mi cora que tú ya te has ido y no hay vuelta atrás
Tú me dejaste, pero ni modo
Piel de cordero, pero eras lobo
Tú me mentías, yo que era un bobo
Con esa boca te creía todo
Y así es la historia, pero ni modo
Ya miro cómo yo me acomodo
Ahora me tocó aprender a las malas
Cortarme las alas y salir del lodo
(Nanpa)
Y un día llegaste como un huracán
De esos que pasan y no dejan nada
Te llevaste mi cariño y de paso mi paz
Como quien te quita el sueño en la madrugada
Mami, qué difícil es vivir como me dejaste
Prácticamente al revés, maldigo el día en que llegaste
Con esa cara bonita y esa cinturita ceñida a la ropa
Parecías un angelito de esos que no parten ni una copa
Rompiste toda la vajilla, caían gotas sobre mis mejillas
Y noche de por medio me embriagaba
Dejarte no es cosa sencilla, le pido a Dios de rodillas
Que mañana cuando me despierte abra los ojos, mami, y no sienta nada
Tú me rompiste en tantas partes
Y aunque lo intento, yo ya no me puedo armar
Hay una herida que me has hecho, aquí en el pecho
No hay medicina que me la pueda curar
Démantelés (feat. Nanpa Básico)
Et comme c'était beau de t'avoir, de t'embrasser, de te serrer
Crier au monde que je t'aime dans ma chanson
Tu m'as juré que tu m'aimerais pour toujours
Et quelle tristesse que ce n'était qu'une illusion
Tu m'as brisé en mille morceaux
Et même si j'essaie, je ne peux plus me reconstruire
Il y a une blessure que tu m'as faite, ici dans la poitrine
Il n'y a pas de médicament qui puisse la guérir
(Santa RM)
Bébé, je ne te mens plus
Je ressens tant de sentiments
Ça fait une semaine que je bois des Bucanas pour voir si je peux exploser
Parce que je me réveille et tu n'es plus là
Et dans mes rêves, tu ne t'en vas pas
Comment expliquer à mon cœur que tu es déjà partie et qu'il n'y a pas de retour en arrière
Tu m'as laissé, mais tant pis
Peau de mouton, mais tu étais un loup
Tu me mentais, moi qui étais un idiot
Avec cette bouche, je te croyais tout
Et c'est l'histoire, mais tant pis
Je vois comment je m'adapte
Maintenant, j'ai dû apprendre à la dure
Me couper les ailes et sortir du bourbier
(Nanpa)
Et un jour, tu es arrivée comme un ouragan
De ceux qui passent et ne laissent rien
Tu as emporté mon amour et par la même occasion ma paix
Comme celui qui te retire le sommeil au petit matin
Mami, comme c'est difficile de vivre comme tu m'as laissé
Pratiquement à l'envers, je maudis le jour où tu es arrivée
Avec ce joli visage et cette taille serrée dans les vêtements
On aurait dit un petit ange qui ne casse même pas une tasse
Tu as brisé toute la vaisselle, des gouttes tombaient sur mes joues
Et nuit après nuit, je m'enivrais
Te quitter n'est pas une chose facile, je prie Dieu à genoux
Que demain, quand je me réveille, j'ouvre les yeux, mami, et je ne ressente rien
Tu m'as brisé en mille morceaux
Et même si j'essaie, je ne peux plus me reconstruire
Il y a une blessure que tu m'as faite, ici dans la poitrine
Il n'y a pas de médicament qui puisse la guérir