395px

Je crois

SFDK

Yo creo

Yeaaah! que menos que dedicarte una cancion, nena, al cincuenta por ciento de mi vida, fue tan facil como apoyar el boli sobre el papel y dejar que fluyera... sienteloo, estoy tocando el cielo con las manos, yoo, vaa, yo creoo...
Estoy sentao mirandote a los ojos
me pierden sus reflejos, eres mi juventud cuando estoy viejo
la solucion a mis complejos, el lobulo de tus orejas
las lineas de mi vida son las lineas de tus cejas,
y tu pelo, que cambia siempre a gusto mio
cuando te tiñes de morena eres mi ninfa que salio de un rio
sabes que lloro tanto como sonrio
tus cabellos rubios naturales son mi tesoro perdio.
Caigo en picao por un valle que se dibuja entre tus hombros
besandote en redondo ese cuello de agujas
hago una pausa en tu clavicula, el mejor balcon hasta tus tetas
ahora que nada las sujeta, fresa y nata libres de cualquier estria
se ponen firmes cuando ven que mi mirada se desvia
cuanto daria por caer encima de ella
y salte el vacio en tu piscina de mamella
y es que estas preciosa hasta cuando estas dormida mujeeer
y no te cuento en la bañera
mis ojos son la herramienta necesaria para encontrar tal paisaje
mi lengua el pincel para pintarlo
ah! yo creo nena, yo creoo, yoo!, vaaa
Pezones poco pronunciados de color rosado
me resbalo, cayendo por ese canal sagrado
pude agarrarme de una mano al piercing de tu ombligo
gracias a que fue regalo mio me mantiene vivo
paro en tu vientre, me aferro al metal con los dientes
doscientosveinte, nena ya noto la corriente
sabes que me cuesta bastante actuar con disimulo
y es que me encanta empezarte a comer por el culo.
Eres mi religion, mi credo y yo muero por ello
igual que muero en tu sexo de fino vello
nunca una mujer estuvo tan suave y tu lo sabes
que man llevao en globo pero nunca en nave
tu tienes las claves del vuelo pa mis viajes astrales
tu me enseñaste los lenguajes manuales
con tus manos de niña pequeña y tus nuevas uñas orientales
la perdicion de los mortales
yooo, lo bueno de memorizar la letra es que tengo tu foto en el atril, mirandomee... ahh! yo creo nena, fue tan facil como ponerme delante del microfono y dejaar que fluyeraa...ah! yo creo nena, yo creoo, yoo!, vaaa
Me encanta cuando estas enferma y tengo que cuidarte
evaluarte, sigo soñando con preñarte
y eso que amarte no es una mision sencilla
mi perilla hace cosquillas por detras de tus rodillas
En una habitacion a oscuras, con sabanas de seda
y con tu cuerpo encima de ellas confundo texturas
vivo embrujao de tu bravura y de tus travesuras
tu estas desnuda y yo escribiendo esta literatura,
Me gusta darte un beso cuando estas dormida
por las mañanas te levantas mas agradecida, mas llena de vida
quiero beber de tu santa saliva
despues de follar fumando uno de sativa,
Me gusta hacerme daño y que me cures las heridas
tu eres mi musa, yo tu escriba, miremos hacia arriba
termino esta cancion diciendote sincero
si hablamos de tus pies tendria que hacerme un tema entero
yooo, es como yo me temiaa, fue tan facil rapearla como escribirla, sin bajar de la nube, especial dediacion a mi mujer anitaa,cincuenta,cincuenta, yoo 2007, por ahi va.

Je crois

Ouaiiis ! Que dire, je te dédie une chanson, ma belle, à cinquante pour cent de ma vie, c'était aussi simple que de poser le stylo sur le papier et de laisser couler... ressens-le, je touche le ciel avec mes mains, moi, ouais, je crois...

Je suis assis à te regarder dans les yeux
Je me perds dans leurs reflets, tu es ma jeunesse quand je suis vieux
La solution à mes complexes, le lobe de tes oreilles
Les lignes de ma vie sont les lignes de tes sourcils,
et tes cheveux, qui changent toujours à ma guise
Quand tu te teins en brune, tu es ma nymphe sortie d'une rivière
Tu sais que je pleure autant que je souris
Tes cheveux blonds naturels sont mon trésor perdu.
Je tombe en piqué dans une vallée qui se dessine entre tes épaules
T'embrassant en rond ce cou de déesse
Je fais une pause sur ta clavicule, le meilleur balcon jusqu'à tes seins
Maintenant que rien ne les soutient, fraise et crème libres de toute strie
Ils se redressent quand ils voient que mon regard se détourne
Combien je donnerais pour tomber sur elle
Et sauter dans le vide de ta piscine de seins.

Et tu es magnifique même quand tu dors, femme
Et je ne te parle même pas dans la baignoire
Mes yeux sont l'outil nécessaire pour trouver un tel paysage
Ma langue le pinceau pour le peindre
Ah ! Je crois, ma belle, je crois, moi !, ouais

Des tétons peu prononcés de couleur rose
Je glisse, tombant par ce canal sacré
J'ai pu m'accrocher d'une main au piercing de ton nombril
Merci d'avoir été un cadeau de moi, ça me garde en vie
Je m'arrête sur ton ventre, je m'accroche au métal avec les dents
Deux cent vingt, ma belle, je sens déjà le courant
Tu sais que j'ai du mal à agir avec discrétion
Et j'adore commencer par te manger le cul.
Tu es ma religion, ma foi et je meurs pour ça
Tout comme je meurs dans ton sexe de fin duvet
Jamais une femme n'a été aussi douce et tu le sais
Que je suis monté en ballon mais jamais en navire
Tu as les clés du vol pour mes voyages astrales
Tu m'as appris les langages manuels
Avec tes mains de petite fille et tes nouvelles ongles orientaux
La perdition des mortels.

Moi, le bon côté de mémoriser les paroles, c'est que j'ai ta photo sur le pupitre, me regardant... ahh ! Je crois, ma belle, c'était aussi simple que de me mettre devant le micro et de laisser couler... ah ! Je crois, ma belle, je crois, moi !, ouais

J'adore quand tu es malade et que je dois prendre soin de toi
Évaluer, je continue à rêver de te mettre enceinte
Et même si t'aimer n'est pas une mission simple
Ma barbichette fait des chatouilles derrière tes genoux
Dans une chambre sombre, avec des draps en soie
Et avec ton corps dessus, je confonds les textures
Je vis ensorcelé par ta bravoure et tes frasques
Tu es nue et moi j'écris cette littérature,
J'aime t'embrasser quand tu dors
Le matin, tu te lèves plus reconnaissante, plus pleine de vie
Je veux boire de ta sainte salive
Après avoir baisé en fumant un peu de sativa,
J'aime me faire mal et que tu guérisses mes blessures
Tu es ma muse, moi ton scribe, regardons vers le ciel
Je termine cette chanson en te disant sincèrement
Si on parle de tes pieds, je devrais faire un thème entier.

Moi, c'est comme je le craignais, c'était aussi simple de le rapper que de l'écrire, sans descendre de mon nuage, dédicace spéciale à ma femme Anita, cinquante, cinquante, moi 2007, par là.

Escrita por: Zaturno