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Rock 'N' Rolles de Chiquillos (part. Dani Fernández)

Sofia Ellar

Rock 'N' Rolles de Chiquillos (part. Dani Fernández)

Sentada en ese banco donde un día prometimos
Que nadie nos cambiaría, que seríamos los mismos
Que dar cuatro patadas a un balón fue tu destino
Que yo te escribiría esta canción en un suspiro

Tus diecisiete octubres inocentes, bien mimados
Mis ganas de quererte traducidas en abrazos
De peli, manta, rock'nrolles de chiquillos
De aquel primer amor que me robó el sentido

Y pasan los años
Y vuelves a tocar aquí a mi puerta
Me dices que siempre fui tu cenicienta
Y que es mi perfume el que tanto tu anhelas

Que ya estás cansado de princesas muertas
Que quieren robarte la vida
Comprárselo todo y tu pases la visa
Te juran sus labios y te aman deprisa

Promesas perdidas
Recuerdos de aquel banco donde un día coincidimos
Después de tantos años un verano desistimos
Volviste a refrescar de un chapuzón lo ya perdido

Volviste a reventar mi corazón tan mallerido
Y qué tan tonta fui que revolviste mis sentidos
De otra patada estúpida perdida en el olvido

Que tú lo has incumplido
Que ya no eres el mismo
Que el mundo de ahí afuera te está echando a ti a perder

Y pasan los años
Y vuelves a tocar aquí a mi puerta
Me dices que siempre fui tu cenicienta
Y que es mi perfume el que tanto tu anhelas

Que ya estás cansado de princesas muertas
Que quieren robarte la vida
Comprárselo todo y tu pases la visa
Te juran sus labios y te aman deprisa
Promesas perdidas

Y vuelvo a perder
Me juego las cartas contigo
El joker tal vez tu peor enemigo
Que me da la espalda y comienza a llover
Y he vuelto a caer

Cruzándome aquí en tu camino
Esta noche fugaz de derroches y vino
Y pasan los años
Y sigo sentada en el banco

Hablando a la Luna que escucha este llanto
Un niño, una niña tan llenos de encanto
Ni Ibiza, ni barcos

Rock 'N' Rolles de Chiquillos (part. Dani Fernández)

Assise sur ce banc où un jour on a promis
Que personne ne nous changerait, qu'on resterait les mêmes
Que donner des coups de pied à un ballon était ton destin
Que je t'écrirais cette chanson en un soupir

Tes dix-sept octobres innocents, bien choyés
Mes envies de t'aimer traduites en câlins
De film, de couverture, de rock'n'roll de gamins
De ce premier amour qui m'a volé le sens

Et les années passent
Et tu reviens frapper à ma porte
Tu me dis que j'ai toujours été ta cendrillon
Et que c'est mon parfum que tu désires tant

Que tu es fatigué des princesses mortes
Qui veulent te voler la vie
Tout acheter et toi passer la carte
Elles te jurent leurs lèvres et t'aiment à la va-vite

Promesses perdues
Souvenirs de ce banc où un jour on s'est croisés
Après tant d'années, un été on a renoncé
Tu es revenu rafraîchir ce qui était perdu

Tu as de nouveau explosé mon cœur si abîmé
Et comme j'ai été bête, tu as troublé mes sens
D'un autre coup de pied stupide perdu dans l'oubli

Que tu ne l'as pas tenu
Que tu n'es plus le même
Que le monde là-dehors est en train de te détruire

Et les années passent
Et tu reviens frapper à ma porte
Tu me dis que j'ai toujours été ta cendrillon
Et que c'est mon parfum que tu désires tant

Que tu es fatigué des princesses mortes
Qui veulent te voler la vie
Tout acheter et toi passer la carte
Elles te jurent leurs lèvres et t'aiment à la va-vite
Promesses perdues

Et je perds à nouveau
Je mise mes cartes avec toi
Le joker peut-être ton pire ennemi
Qui me tourne le dos et commence à pleuvoir
Et je suis retombée

Te croisant ici sur ton chemin
Cette nuit fugace de débauches et de vin
Et les années passent
Et je suis toujours assise sur le banc

Parlant à la Lune qui écoute ce pleur
Un garçon, une fille si pleins de charme
Ni Ibiza, ni bateaux

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