Fatal Sin Frenos (part. Juanca UF)
Llegó el verdadero, los raperos entraron en crisis
Ya vieron que soy el más bueno, se las voy a poner difícil
Apuesta tu gorra y tus Dc's, requiero fumarme otro misil
Ayer aplasté cuatro michis, y con las llantas de mi bici
Y sí, se siente bien verga, consumiendo droga moderna
Chamaco ya cierra ese pico, te explico hasta cómo moverla
Están bien pinches escondidos, cadáveres en las cavernas
Cuidado con todas sus balas, la última chavala ya no pudo verla
Pinche chamacos son bien blas, pero no me importa a mí
Recibiendo sus malas vibras, las convierto en libras de kief
En la torreta haciendo beat, piso a todos esos monkeys
A huevo que soy verdadero, y tú un rapero de mentis
Háblale al pinche titis, que ahora nos llegó el cantón
Es noche de ponernos locos, y que nos lleguen a montón
Nosotros estamos curtidos, y los tuyos juidos pinpón
No te quieres dar en la madre, que eres muy guapo y de cartón
León, Guanajuato sí es alto calibre, que Dios me bendiga y la libre
El punto se convierte en anexo, ¿eso te parece increíble?
Niños adentro de barriles, probando la droga del dealer
Y el puto que atiende ese punto, que es el padrino del grupo Cristo Vive
Vivo la vida bien pinche machín, empeño mi bica y regreso a patín
Los pantalones los tengo bien puestos, y cinco boyas en el calcetín
Corro del operativo catín, en mi mochila Tonayán y Tajín
Esto me funde, las drogas me hunden, ojalá lo under, no llegue a su fin
Fírmale aquí, me dicen los demonios, porque pronto este mundo va a ser mío
Me encanta vagar en las noches, y que mi ponche esté bien frío
Voy en el coche bien pinche drogado, borrado, rodeado de todos los míos
Y el puto que empiece de maricon le tapo, su bomba en el malecón del río
Me río de todos los que se crean ñeros, no saben ni ser pandilleros
Presumen su pinche cuchillo, niño guarda ese cebollero
No te quieras ver peligroso, baboso, eso no es verdadero
Los tenis me los compré yo, la facha de los tendereros
El mero perro carroñero, mejor ya dejame dormir
El día que termine en el suelo, que las drogas se apiaden de mí
La verdad no sé qué es lo que esperas, y la esfera dice que valí
Matándome en esta basura, y así destacando entre mil
De noche pegaron el grito, mejor siéntate otro ratito
Que tus pertenencias te quito, le meto nitro a siete litros
Cometo hasta treinta delitos, yo no soy ningún prototipo
Hip hop real, paletas enfermas, un pro este tipo
Ah
Así se rapea perros, es la Unión Fatal putos
El Juan cuerdas, ah, uh
Péché Fatal Frenos (feat. Juanca UF)
Le vrai est arrivé, les rappeurs sont en crise
Ils ont vu que je suis le meilleur, je vais leur compliquer la vie
Mets en jeu ta casquette et tes DC's, j'ai besoin de fumer un autre missile
Hier, j'ai écrasé quatre chats, avec les pneus de mon vélo
Et ouais, ça fait bien plaisir, en consommant de la drogue moderne
Gamin, ferme ta grande gueule, je vais même t'expliquer comment la bouger
Ils sont bien planqués, les cadavres dans les cavernes
Fais gaffe à toutes leurs balles, la dernière fille n'a pas pu la voir
Ces petits cons sont bien blasés, mais ça m'est égal
Recevant leurs mauvaises vibes, je les transforme en livres de kief
Dans la tour, je fais le beat, j'écrase tous ces singes
C'est sûr que je suis vrai, et toi, t'es un rappeur de pacotille
Appelle le putain de Titis, car on a maintenant le coin
C'est la nuit pour devenir fous, et qu'on nous rejoigne en masse
Nous, on est aguerris, et les tiens sont des clowns, pinpón
Tu veux pas te prendre une claque, parce que t'es trop beau et en carton
León, Guanajuato, c'est du lourd, que Dieu me bénisse et me libère
Le point devient un annexe, ça te semble incroyable ?
Des gamins dans des barils, testant la drogue du dealer
Et le putain qui gère ce point, c'est le parrain du groupe Cristo Vive
Je vis la vie bien hardcore, je mets en jeu mon vélo et je reviens à pied
Je porte bien mes pantalons, et cinq boules dans mes chaussettes
Je fuis l'opération, dans mon sac, du Tonayán et du Tajín
Ça me consume, les drogues m'enfoncent, j'espère que le underground ne finisse pas
Signe ici, me disent les démons, car bientôt ce monde sera à moi
J'adore traîner la nuit, et que mon punch soit bien frais
Je suis dans la caisse, bien défoncé, effacé, entouré de tous les miens
Et le putain qui commence à faire le malin, je lui bouche sa bombe sur le malecón du fleuve
Je me fous de tous ceux qui se prennent pour des durs, ils savent même pas être des gangsters
Ils se vantent de leur putain de couteau, gamin, range ce couteau à oignons
Ne te fais pas passer pour dangereux, idiot, ça c'est pas vrai
Mes baskets, je les ai achetées moi-même, le style des petits commerçants
Le vrai charognard, mieux vaut me laisser dormir
Le jour où je finirai par terre, que les drogues aient pitié de moi
Honnêtement, je ne sais pas ce que tu attends, et la sphère dit que j'ai foiré
Me tuant dans cette merde, et ainsi me démarquant parmi mille
La nuit, ils ont crié, mieux vaut que tu restes assis un moment
Je te prends tes affaires, je mets du nitro dans sept litres
Je commets jusqu'à trente délits, je ne suis pas un prototype
Hip hop réel, des sucettes malades, un pro ce type
Ah
C'est comme ça qu'on rappe les chiens, c'est l'Union Fatale, enfoirés
Le Juan cordes, ah, uh