395px

Cábala

WOS

Cábala

Todo está nublado
Otra vez se esconde el Sol por capricho de algún Dios saturado
Tiempos de hoy
Somos un cliché reciclado
A veces la belleza es tan cruel
Como una promesa que nunca se cumple
Instantes que no pueden volver
El recuerdo es un veneno dulce
Insisto en quedarme dormido flotando
La realidad otra vez me despierta gritando
El recuerdo es un veneno dulce

Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán
Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán

Ya no se apagará, estoy despegando del cuerpo
Y vuelvo a soñar que paso del sueño a estar muerto
Llámala, estoy despegando del cuerpo
Y vuelvo a soñar que paso del sueño a estar muerto

Insisto en quedarme dormido flotando
La realidad me despierta gritando
Somos todos tiranos
Tironeamos del poder en las manos
Hijos del rigor corren del olvido
Buscan lo mórbido y lo prohibido
Es como escapar al encuentro de un pensamiento obsesivo
Adherido, ensañado con algo mío
Busca resurgir de este sentir enmohecido
De vuelta esta sed, estás perdida en la cárcel de ayer
¿Y cómo no te van a marear las estrellas si siempre mirás esa misma pared?
Te juro nos vemos después, no es una huida
No pongas tu cara de despedida
Todas las fiestas tienen su agonía
Reencarnación, traigo los restos de nuestra pasión
Veremos si queda otra vida

Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán
Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán
Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán
Tu amor es mi cábala, viene a partirme la cara su ráfaga
Aviva la llama del gran chamán

Ya no se apagará, me estoy despegando del cuerpo
Y vuelvo a soñar que paso del sueño a estar muerto
Llámala, estoy despegando del cuerpo
Y vuelvo a soñar que paso del sueño a estar muerto

Cábala

Tout est nuageux
Encore une fois, le soleil se cache par caprice d'un Dieu saturé
Les temps d'aujourd'hui
Nous sommes un cliché recyclé
Parfois la beauté est si cruelle
Comme une promesse qui ne se réalise jamais
Des instants qui ne peuvent revenir
Le souvenir est un poison doux
J'insiste pour rester endormi en flottant
La réalité me réveille encore en criant
Le souvenir est un poison doux

Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman
Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman

Il ne s'éteindra plus, je me détache du corps
Et je rêve à nouveau que je passe du rêve à être mort
Appelle-la, je me détache du corps
Et je rêve à nouveau que je passe du rêve à être mort

J'insiste pour rester endormi en flottant
La réalité me réveille en criant
Nous sommes tous des tyrans
Nous tirons sur le pouvoir dans nos mains
Les enfants de la rigueur fuient l'oubli
Ils cherchent le morbide et l'interdit
C'est comme échapper à la rencontre d'une pensée obsessive
Accrochée, acharnée à quelque chose qui m'appartient
Cherche à ressurgir de ce sentiment moisi
De retour cette soif, tu es perdue dans la prison d'hier
Et comment ne pas être étourdi par les étoiles si tu regardes toujours ce même mur ?
Je te jure qu'on se revoit après, ce n'est pas une fuite
Ne fais pas ta tête de départ
Toutes les fêtes ont leur agonie
Réincarnation, j'apporte les restes de notre passion
On verra s'il reste une autre vie

Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman
Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman
Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman
Ton amour est ma cábala, il vient me fracasser le visage avec sa rafale
Il ravive la flamme du grand chaman

Il ne s'éteindra plus, je me détache du corps
Et je rêve à nouveau que je passe du rêve à être mort
Appelle-la, je me détache du corps
Et je rêve à nouveau que je passe du rêve à être mort

Escrita por: