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Estigma

Xenon

Estigma

Coge al testigo, le digo a mi amigo el rencor
Por favor, que dolor, pido perdón si ahora cambio por odio
El amor hacia quien me arrojó
Y si se tercia o es más por inercia
Me lleno las venas de alcohol
Que el hígado filtra los besos en letras
Excesos, sucesos, sudor

Tarde o temprano cuando perecemos
Somos veneno letal al menos, me sirve de consuelo
No me penetran tus ojitos negros
No me alimentan ni un solo te quiero
No ansío venganza, ni avivo al fuego, quemo recuerdos sin cautela
Mientras consumo de lleno nuestra vela

Y si te vas, ya no hay nada ni nadie
Que quepa aquí dentro, lo siento
Si te vas, no te culpes si ves que me empiezo a quedar atrás
Porque cuando te vas, vuelve la ansiedad
Cuando te vas ella vuelve
Cuando te vas vuelve la ansiedad
No verte más, disimular

No me dijiste que el amor se fuera
Ahora llorando por la carretera
Busco salida, en un cuarto cerrado
Nadie me busca, nada me llena
Ahora que pido a la noche que venga
Tú te me marchas, quiero que vuelvas
Tengo los días pasando despacio
Infierno dentro, lluvia allá afuera
Es complicado decirte que siento
Cuando no siento ni que me quiera
Tiemblan mis manos, tú miras mis ojos

Me dices que debo seguir aún sin fuerzas
Perfecta belleza, tener mi tristeza
La gente que llora se riega del mal que les dejan
Estoy entre rejas, cumpliendo condena
Dicen, que todo va bien
Pero yo siento el frío en mi piel
Cuando te alejas, saludo a demonios que buscan jugar conmigo al quién es quien
No reconozco lo que yo he sido, lo que he vivido estando contigo

Quiero no pensar demasiado en aquello, pero
Aquí vuelvo y sigo, digo
Seremos felices, te juro que esto serán cicatrices
Tú, no llores más, deja que todo pase ya
Bendita pena, cuanto me has dado
Por cada herida temazo sacado
Te hago sentir el frío en Dubai, no tengo un corazón
Ya no lo hay, quiero que sigas aún que todo falle
Mirada en alto, orgullo intocable, puedo seguir adelante
Aunque el miedo me diga que no, pero aquí yo le gano

Y si te vas, ya no hay nada ni nadie
Que quepa aquí dentro, lo siento
Si te vas, no te culpes si ves que me empiezo a quedar atrás
Porque cuando te vas, vuelve la ansiedad
Cuando te vas, ella vuelve
Cuando te vas, vuelve la ansiedad
No verte más, disimular
Lo siento, lo siento

Estigma

Prends le témoin, je dis à mon pote le ressentiment
S'il te plaît, quel douleur, je demande pardon si maintenant je change par la haine
L'amour pour celui qui m'a rejeté
Et si ça se présente ou c'est plus par inertie
Je me remplis les veines d'alcool
Que le foie filtre les baisers en lettres
Excès, événements, sueur

Tôt ou tard quand on périt
On est un poison mortel au moins, ça me réconforte
Tes petits yeux noirs ne me pénètrent pas
Ils ne me nourrissent même pas d'un seul je t'aime
Je ne désire pas de vengeance, ni n'attise le feu, je brûle les souvenirs sans précaution
Pendant que je consomme notre bougie à fond

Et si tu pars, il n'y a plus rien ni personne
Qui puisse tenir ici dedans, désolé
Si tu pars, ne te blâme pas si tu vois que je commence à rester derrière
Parce que quand tu pars, l'anxiété revient
Quand tu pars, elle revient
Quand tu pars, l'anxiété revient
Ne plus te voir, faire semblant

Tu ne m'as pas dit que l'amour s'en irait
Maintenant je pleure sur la route
Je cherche une sortie, dans une chambre fermée
Personne ne me cherche, rien ne me remplit
Maintenant que je demande à la nuit de venir
Toi tu t'en vas, je veux que tu reviennes
Les jours passent lentement
Enfer à l'intérieur, pluie dehors
C'est compliqué de te dire ce que je ressens
Quand je ne sens même pas qu'on m'aime
Mes mains tremblent, tu regardes mes yeux

Tu me dis que je dois continuer même sans force
Beauté parfaite, porter ma tristesse
Les gens qui pleurent se répandent du mal qu'on leur laisse
Je suis derrière les barreaux, purgant ma peine
Ils disent que tout va bien
Mais je sens le froid sur ma peau
Quand tu t'éloignes, je salue des démons qui cherchent à jouer avec moi au qui est qui
Je ne reconnais pas ce que j'ai été, ce que j'ai vécu avec toi

Je veux ne pas trop penser à ça, mais
Me voilà de retour et je continue, je dis
Nous serons heureux, je te jure que ce seront des cicatrices
Toi, ne pleure plus, laisse tout passer maintenant
Bénie douleur, combien tu m'as donné
Pour chaque blessure, un gros morceau sorti
Je te fais sentir le froid à Dubaï, je n'ai plus de cœur
Il n'y en a plus, je veux que tu continues même si tout échoue
Regard haut, fierté intouchable, je peux avancer
Bien que la peur me dise non, mais ici je gagne

Et si tu pars, il n'y a plus rien ni personne
Qui puisse tenir ici dedans, désolé
Si tu pars, ne te blâme pas si tu vois que je commence à rester derrière
Parce que quand tu pars, l'anxiété revient
Quand tu pars, elle revient
Quand tu pars, l'anxiété revient
Ne plus te voir, faire semblant
Désolé, désolé

Escrita por: Bárbara Guillén / Ruben De La Cruz