Elevage de poussière
Assise dans l'assymétrie des plaines hostiles des centres villes
Je me demande combien de temps encore je vais tenir
Les architèctes des nouveaux mondes, ignorent jusqu'à la gravité
La légende dit que les murs tombent, pour ceux qui savent les faire tomber.
Je mange debout, seule dans l'urgence, préssée, préssée, toujours préssée
J'ai le vertige même allongée, j'ai des sueurs froides, le poul saccadé
Il paraîtrait que le monde change, pour ceux qui veulent le faire changer
J'ai pris le rythme des gens étanches, que rien n'atteind ni ne dérange.
Je m'habille vite dans l'ascenceur,descendre, monter, compter les heures
A bout de souffle j'arrive à temps pour commencer le grand changement.
L'aliénation par la routine, le cycle imbrisable des saisons
L'aliénation par la routine, la reine de tous les éléments
C'est l'anévrisme des nouveaux temps, le choc, l'orage, le dénouement.
L'infinité des couloirs vides, mon corps piégé dans l'espace temps.
L'engourdissement, la crise des nerfs, l'eclair précédant l'explosion
Ce Labyrinthe plein de frontières, l'erreur entrainant l'exclusion
C'est mon malaise dans l'ordinaire, la chute dans les sables mouvants
Ici Nul part ailleurs tout le temps, le roue tourne éternellement
L'aliénation.
Criadero de polvo
Sentada en la asimetría de las llanuras hostiles de los centros urbanos
Me pregunto cuánto tiempo más podré aguantar
Los arquitectos de los nuevos mundos ignoran incluso la gravedad
La leyenda dice que los muros caen, para aquellos que saben hacerlos caer
Como como de pie, sola en la urgencia, apurada, siempre apurada
Me mareo incluso acostada, tengo sudores fríos, el pulso acelerado
Dicen que el mundo cambia, para aquellos que quieren cambiarlo
He adoptado el ritmo de la gente impermeable, a quienes nada alcanza ni molesta
Me visto rápido en el ascensor, bajar, subir, contar las horas
Sin aliento llego a tiempo para comenzar el gran cambio
La alienación por la rutina, el ciclo inquebrantable de las estaciones
La alienación por la rutina, la reina de todos los elementos
Es el aneurisma de los nuevos tiempos, el choque, la tormenta, el desenlace
La infinitud de los pasillos vacíos, mi cuerpo atrapado en el espacio tiempo
El entumecimiento, la crisis de nervios, el destello previo a la explosión
Este laberinto lleno de fronteras, el error llevando a la exclusión
Es mi malestar en lo cotidiano, la caída en arenas movedizas
Aquí en ninguna parte todo el tiempo, la rueda gira eternamente
La alienación.