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Roulez bus, roulez

Jeffrey Lewis

Roll Bus Roll

Roll bus roll, take me off
A rolled sweatshirt makes the window soft
If I fall asleep, don’t wake me up
Roll bus roll, take me up

Midnight coming on a monday night
I’m gonna go again because I don’t feel right
Quick pack, knapsack, quick snack, quick train
42Nd street, greyhound again

Roll bus roll, take me off
A rolled sweatshirt makes the window soft
If I fall asleep, don’t wake me up
Roll bus roll, take me up

Old bodegas and old streetlights
Harlem looks so warm tonight
All those cheap desserts memory hurts, I could die
I gotta take 2 tylenols and close my eyes

Roll bus roll, take me off
A rolled sweatshirt makes the window soft
If I fall asleep, don’t wake me up
Roll bus roll, take me up

I wasn’t designed to move so fast
I wasn’t designed to have so much past
And in my minds eye they all have so much fun
Nowhere to hide, and nowhere to run

And then the sun setting on my youth makes that old shadow get taller
Oh, but its all fine as long as the bus makes the city behind me get smaller and smaller

Roll bus roll, take me off
A rolled sweatshirt makes the window soft
If I fall asleep, don’t wake me up
Roll bus roll, take me up

Two weeks in england, two weeks in town
Another hundred bucks of medication down
Another sorry message that I need to send
And another situation that I have to end

A midnight coming on a monday night
I’m gonna go again I might not be alright
Its a bitter pill, and it’s still the same
42Nd street, greyhound again

If I get one seat, I hope it’s the window
And if I get two seats I’ll just lie down
But if I get one seat and it’s just the aisle
I’ll still be asleep before the hundreth mile

And then inside some tiny dream
And inside that somekind of me
And outside us rolls the bus and the time will go by till inside me I am asleep

Then roll bus roll, take me off
A rolled sweatshirt makes the window soft
If I fall asleep, don’t wake me up
Roll bus roll, take me up

Roulez bus, roulez

Roulez bus, roulez, dépose-moi
Un sweat roulé rend la fenêtre douce
Si je m'endors, ne me réveille pas
Roulez bus, roulez, emmène-moi

Minuit arrive un lundi soir
Je vais repartir car je ne me sens pas bien
Vite fait, sac à dos, petit en-cas, train rapide
42ème rue, Greyhound encore

Roulez bus, roulez, dépose-moi
Un sweat roulé rend la fenêtre douce
Si je m'endors, ne me réveille pas
Roulez bus, roulez, emmène-moi

Vieilles bodegas et vieux lampadaires
Harlem a l'air si chaleureux ce soir
Tous ces desserts pas chers, ça fait mal, je pourrais crever
Je dois prendre 2 Tylenol et fermer les yeux

Roulez bus, roulez, dépose-moi
Un sweat roulé rend la fenêtre douce
Si je m'endors, ne me réveille pas
Roulez bus, roulez, emmène-moi

Je n'étais pas fait pour bouger si vite
Je n'étais pas fait pour avoir tant de passé
Et dans l'œil de mon esprit, ils s'amusent tous tant
Nulle part où se cacher, nulle part où fuir

Et puis le soleil se couche sur ma jeunesse, fait grandir cette vieille ombre
Oh, mais tout va bien tant que le bus fait rétrécir la ville derrière moi

Roulez bus, roulez, dépose-moi
Un sweat roulé rend la fenêtre douce
Si je m'endors, ne me réveille pas
Roulez bus, roulez, emmène-moi

Deux semaines en Angleterre, deux semaines en ville
Encore cent balles de médocs de dépensés
Un autre message désolé que je dois envoyer
Et une autre situation que je dois clore

Minuit arrive un lundi soir
Je vais repartir, je ne vais peut-être pas bien
C'est une pilule amère, et c'est toujours pareil
42ème rue, Greyhound encore

Si j'ai une place, j'espère que c'est côté fenêtre
Et si j'ai deux places, je vais juste m'allonger
Mais si j'ai une place et que c'est juste le couloir
Je serai déjà endormi avant la centième mile

Et puis à l'intérieur d'un petit rêve
Et à l'intérieur, une sorte de moi
Et dehors, le bus roule et le temps passe jusqu'à ce que je sois endormi à l'intérieur

Alors roulez bus, roulez, dépose-moi
Un sweat roulé rend la fenêtre douce
Si je m'endors, ne me réveille pas
Roulez bus, roulez, emmène-moi

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