Pourvu Qu'elles Soient Douces
Ton regard oblique, en rien il lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers n'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas fâcheux
Ton kamasutra a bien son temps d'âge
Mon Dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra en ce paysage
C'est d'aimer les deux côtés
Ta majesté jamais ne te déplace
Sans ton petit oreiller
À jamais je suis ton unique classe
Tout n'est que prêt à payer
Tu fais des A, des O derrière ton ouvrage
Comme mon petit pantalon
Debout et de dos, sans perdre courage
Des nuits de tes obsessions
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
D'un poète tu n'as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es KO
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
D'un esthète tu n'as gardé qu'un air bête
Tout est beau si c'est vu de dos
Prose ou poésie, tout n'est que prétexte
Pas la peine de t'excuser
Musou et j'airi, mes petites fesses
Ne cessent de t'inspirer
Je fais des A, des O, jamais ne me lasse
Par amour pour en toquer
Ne faut-il pas que jeunesse se passe
À quoi bon se bousculer
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
D'un poète tu n'as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es KO
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
D'un esthète tu n'as gardé qu'un air bête
Tout est beau si c'est vu de dos
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
Et tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elle soit douce
Siempre que sea dulce
Tu mirada oblicua, nada es lascivo
Tu mamá te dio demasiados golpes
Tu gusto por el revés no tiene nada de perverso
Y tu bebé no es problemático
Tu kamasutra ya tiene su tiempo
Dios mío, qué anticuado
Lo mejor en este paisaje
Es amar los dos lados
Tu majestad nunca se mueve
Sin tu pequeño almohadón
Para siempre soy tu única clase
Todo está listo para pagar
Haces A, O detrás de tu trabajo
Como mi pequeño pantalón
De pie y de espaldas, sin perder el valor
Noches de tus obsesiones
Te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
De un poeta solo tienes la luna en la cabeza
De mis curvas estás noqueado
Te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
De un esteta solo has guardado una cara tonta
Todo es bello si se ve de espaldas
Prosa o poesía, todo es solo un pretexto
No hace falta que te disculpes
Musou y j'airi, mis pequeñas nalgas
No dejan de inspirarte
Hago A, O, nunca me canso
Por amor a lo que me toca
¿No debería la juventud pasar?
¿Para qué apresurarse?
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
De un poeta solo tienes la luna en la cabeza
De mis curvas estás noqueado
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
De un esteta solo has guardado una cara tonta
Todo es bello si se ve de espaldas
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce
Y te empeñas en no importarte de nada
Pero siempre que sea dulce