Souvenirs

[Tu t'rapelles, hein ?]
Quand on vit quoique ce soit de bien à deux imaginez que tout s'arrête…
Une ptite panique peut r'mettre les idées en en place mais quand tout est beau c'est sujet tabou
Cette nuit j'revois les endrois où on s'est connus
Les p'tites disputes pour la taille de tes jupes
Les repas partagés…chuuut-
-j'écoute les zics sur lesquelles on s'est couché ensemble
Une pensée triste et il me semble
Qu'on ne s'est pas aimé comme il faut
Où en même temps j'te répétais sans cesse« tu m'fais pleurer »
tu mdisait « attends »donc en attendant notre cordon ombilical fut rompu
C'est sûrement du à tes fautes,
Mes erreurs commises, puis admises.
C'est malheureux. Une bise tout de même ? Après tout on s'est aimé,
Et ça c'est suffisant.
On joue les malins, on s'plaint de la lassitude,
Puis un jour la solitude rejoint l'habitude.

REFRAIN : ne regrettez pas [pas]
D'avoir étés amis, de s'être aimés un peu
D'avoir connu l'unité, même si c'est fini
C'qui tient de nous c'est tous ces souvenirs.
Y'a que les souvenirs qui tiennent debout.
(Bis)

Tu t émoignais de notre amitiée chaque nuit devant les portes des night-club,
les secrets partagés. Au fil des années
les visages ont changés, sans songer au pire jusqu'à ce jour injuste
où l'un d'nous a failli ah oui
après c'est sur qu'il fallait pas,
à force de n'en faire qu'à sa tête on s'en rend compte trop tard
et à admettre quoi : la fiertée est un mal de l'être aussi mal des lettres mal assemblées comme on communiquait, voit comme on eu niqué !
Le lait est une source d'ennuis public, c'qui s'est entre nous
C'est que nous n'étions pas si proche que ça
Qu'est-ce 'c'est qu'ça : Tendre la main aux amis sans fermer les doigts,
Y perdre le bras…

REFRAIN

Il est mort
T'es pas d'accord, et bien profites,
Et si mes mots te touchent tu te discrédites
Tu te remémores, encore
Et ça te remet mort,
Sans ressusciter. Dans mes propos pas d'métaphore.
Qui n'est pas bouleversé d'observer des adversaires
Qui autrefois chantaient en cœur joyeux anniversaire
Vaut mieux penser aux batailles qu'on a gagnées ou perdues unis
Chaque amitié est unique.
Je verse de la liqueur en mémoires de nos souvenirs,
C'est l'ivresse des souvenirs qui tient debout.

REFRAIN PLUSIEURS FOIS

Recuerdos

[Recuerda, ¿eh?]
Cuando vives algo bueno juntos, imagina que todo se detiene
Una ptite de pánico puede poner ideas en su lugar, pero cuando todo es hermoso es tabú
Esta noche veo los lugares donde nos conocimos
Las p 'tites disputas por el tamaño de tus faldas
Comidas compartidas... chuuut
Escucho los zics con los que dormimos juntos
Un pensamiento triste y me parece
Que no nos amábamos de la manera correcta
Donde al mismo tiempo te decía: “Me haces llorar
Dijiste, “espera”, así que mientras esperaba que nuestro cordón umbilical estaba roto
Probablemente sea por tus fallas
Mis errores cometieron, y luego admitieron
Es desafortunado. ¿Un beso de todos modos? Después de todo, nos amamos
Y eso es suficiente
Jugamos inteligentes, nos quejamos de cansancio
Entonces un día la soledad se une al hábito

REFIRSE: no te arrepientas [no]
Habernos sido amigos, habernos amado un poco
Por conocer la unidad, aunque haya terminado
Lo que tenemos de nosotros son todos esos recuerdos
Son sólo los recuerdos los que se levantan
(bis)

Sentiste nuestra amistad todas las noches frente a las puertas del club nocturno
secretos compartidos. A lo largo de los años
las caras han cambiado, sin pensar en lo peor hasta ahora injusto
donde uno de nosotros casi ah sí
entonces es seguro que no deberías
al hacerlo justo en su cabeza, nos damos cuenta de que es demasiado tarde
y admitir qué: el orgullo es un mal para ser tan malo de las cartas mal ensambladas como uno comunicaba, mira cómo uno había robado!
La lechera es una fuente de problemas públicos, lo que ha sucedido entre nosotros
Es que no estábamos tan cerca
¿Qué es esto? Llegar a amigos sin cerrar los dedos
Perder el brazo

CORO

Está muerto
No estás de acuerdo, bueno, disfrútalo
Y si mis palabras te tocan, te discretas
Te acuerdas otra vez
Y te vuelve a matar
Sin resucitar. En mis comentarios no hay metáfora
¿Quién no está molesto para observar a los oponentes
Que una vez cantó en el corazón feliz cumpleaños
Mejor piensa en las batallas que ganamos o perdimos unidos
Cada amistad es única
Vierto licor en memoria de nuestros memorios
Es la embriaguez de los recuerdos lo que sigue

ABSTENERSE VARIAS VECES

Composição: Ludovic Bource / Oxmo Puccino