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Millie, Réchauffe la Bouilloire

Rabbitology

Millie, Warm The Kettle

I’m burning wick to fingertip with sage
From my shaky-shakin' hands
Millie, what have you done to me
My friend?

I’m tossin’ turnin’ in an open grave
Coined-tongued with whatever I can save
Carrying hauntings of a brand-new age—
Millie, can’t you see I slide
Planchettes with my wake?

Catch me walking with the ghosts again
Must be on that double dose, depends
Roman chamomile all down the throat, lift hands
In Michigan, the lakes all darken
Blackbirds flocking to and fro, sevens
Roots drag marsh/harsh over the floor, levelin’
Millie, can’t you stop them? You slow no omens
Likе exhaling, it never еnds

I’m coughing up elderberry on the stage
Like your sacrificial lamb
Millie, hypnotize pain away, I beg

I’m whisper-hissing notes on every slate
That I scribe and toss into the hungry waves
Carrying itchings for a familiar ache
Millie, can’t you see I made a walking stick out of my stake?

Catch me walking with the ghosts again
Must be on that double dose, depends
Roman chamomile all down the throat, lift hands
In Michigan, the lakes all darken
Blackbirds flocking to and fro, sevens
Roots drag marsh/harsh over the floor, levelin’
Millie, can’t you stop them? You slow no omens
Like exhaling, it never ends

Three redwing blackbirds outside my window
Two fish heads at my door
What be this omen, I’ll never know
Millie, warm the kettle once more

Three redwing blackbirds outside my window
Two fish heads at my door
One kettle bubbling atop rusted stove but
Millie, warm the kettle once
Millie, warm the kettle once
Millie, could you so please be
A kind old dearie just for me
And warm the kettle’s tea once more?

Catch me walking with the ghosts again
Must be on that double dose, depends
Roman chamomile all down the throat, lift hands
In Michigan, the lakes all darken
Blackbirds flocking to and fro, sevens
Roots drag marsh/harsh over the floor, levelin’
Millie, can’t you stop them? You slow no omens
Like exhaling, it never ends

Millie, Réchauffe la Bouilloire

Je brûle la mèche jusqu'au bout des doigts avec de la sauge
De mes mains tremblantes
Millie, qu'est-ce que tu m'as fait
Mon amie ?

Je me retourne dans une tombe ouverte
Langue de fer avec tout ce que je peux sauver
Portant les hantises d'une toute nouvelle ère—
Millie, ne vois-tu pas que je glisse
Des planchettes avec mon sillage ?

Attrape-moi en train de marcher avec les fantômes encore
Ça doit être à cause de cette double dose, ça dépend
De la camomille romaine qui descend dans la gorge, lève les mains
Dans le Michigan, les lacs s'assombrissent
Les merles vont et viennent, en groupes de sept
Les racines traînent marais/dur sur le sol, à niveau
Millie, ne peux-tu pas les arrêter ? Tu ne ralentis aucun présage
Comme une expiration, ça ne finit jamais

Je crache du sureau sur la scène
Comme ton agneau sacrificiel
Millie, hypnotise la douleur, je t'en prie

Je chuchote des notes en sifflant sur chaque ardoise
Que j'écris et jette dans les vagues affamées
Portant des démangeaisons pour une douleur familière
Millie, ne vois-tu pas que j'ai fait un bâton de marche avec mon pieu ?

Attrape-moi en train de marcher avec les fantômes encore
Ça doit être à cause de cette double dose, ça dépend
De la camomille romaine qui descend dans la gorge, lève les mains
Dans le Michigan, les lacs s'assombrissent
Les merles vont et viennent, en groupes de sept
Les racines traînent marais/dur sur le sol, à niveau
Millie, ne peux-tu pas les arrêter ? Tu ne ralentis aucun présage
Comme une expiration, ça ne finit jamais

Trois merles à épaulettes rouges devant ma fenêtre
Deux têtes de poisson à ma porte
Quel est ce présage, je ne le saurai jamais
Millie, réchauffe la bouilloire encore une fois

Trois merles à épaulettes rouges devant ma fenêtre
Deux têtes de poisson à ma porte
Une bouilloire qui bout sur un poêle rouillé mais
Millie, réchauffe la bouilloire une fois
Millie, réchauffe la bouilloire une fois
Millie, pourrais-tu s'il te plaît être
Une gentille vieille dame juste pour moi
Et réchauffer le thé de la bouilloire encore une fois ?

Attrape-moi en train de marcher avec les fantômes encore
Ça doit être à cause de cette double dose, ça dépend
De la camomille romaine qui descend dans la gorge, lève les mains
Dans le Michigan, les lacs s'assombrissent
Les merles vont et viennent, en groupes de sept
Les racines traînent marais/dur sur le sol, à niveau
Millie, ne peux-tu pas les arrêter ? Tu ne ralentis aucun présage
Comme une expiration, ça ne finit jamais

Escrita por: Nat Timmerman