Une jolie fin de vie
{Refrain x2}
On aurait une jolie fin d'vie
Mais faut bien l'dire : y a les filles
On les voit aller et venir
C'est ça qui nous fait tant souffrir
Pour un homme assez bien portant
La vie se barre sans rien qui heurte
Quand soudain le cri d'un tee-shirt
Vous le dégomme à bout portant
Le tissu qui tire, c'est malsain
Tout est fichu, le cœur se serre
A quoi vous sert une assassin
Dont les seins ne sont pas sincères ?
{Au refrain}
Quand revient la jolie saison
La peau douce autour du nombril
Vous met le cerveau sur le grill
Vu la pénurie du coton
La culotte rendue ficelle
Leur fait, elles n'en sont pas peu fières
Un second décolleté derrière
Qui vous vaut des lancées cruelles
{Au refrain}
La seule vue d'un joli profil
Vous torpille sans crier gare
On est cool, puis un regard
Nous fait un parfait imbécile
C'est souvent la devanture
Qui est la cause de nos tourments
Quand ça n'est pas le fondement
Qui nous met à la torture
{Au refrain}
Le chignon lâche une ou deux mèches
Sur le galbe de l'épaule
C'est mignon, vous trouvez ça drôle
C'est bien égal où va la flèche
Dans un corps caverneux qui se vautre
Dans quelque sphincter en panne
Il y a parfois des paires de cannes
Qui nous font oublier les nôtres
{Au refrain, x2}
Un bon final de vida
{Estribillo x2}
Tendríamos un buen final de vida
Pero hay que decirlo claramente: están las chicas
Las vemos ir y venir
Eso es lo que nos hace sufrir tanto
Para un hombre bastante saludable
La vida se va sin nada que lo detenga
Cuando de repente el grito de una camiseta
Te dispara a quemarropa
La tela que se estira, es insalubre
Todo está arruinado, el corazón se aprieta
¿De qué sirve una asesina
Cuyos senos no son sinceros?
{En el estribillo}
Cuando vuelve la hermosa temporada
La piel suave alrededor del ombligo
Te pone el cerebro en la parrilla
Dada la escasez de algodón
La tanga convertida en hilo
Las hace, no están poco orgullosas
Un segundo escote detrás
Que te vale lanzamientos crueles
{En el estribillo}
La simple vista de un bonito perfil
Te hunde sin previo aviso
Estamos tranquilos, luego una mirada
Nos convierte en perfectos idiotas
A menudo es la apariencia
La que causa nuestros tormentos
Cuando no es el trasero
Que nos pone en tortura
{En el estribillo}
El moño suelta uno o dos mechones
Sobre la curva del hombro
Es lindo, te parece gracioso
No importa dónde vaya la flecha
En un cuerpo cavernoso que se revuelca
En algún esfínter averiado
A veces hay pares de piernas
Que nos hacen olvidar las nuestras
{En el estribillo, x2}