Autour Et Partout
Les saisons se sont vite écoulées.
Leurs couleurs, à mes yeur, ont déjà bien changées.
Il m'arrive d'avoir tendance à oublier
Que je foule cette terre, pas à pas,
A la découverte d'endroits que je n'imaginais pas.
Où l'herbe était bien plus grande que moi,
Où je chantais sans craindre ma voix.
Ce n'était pas qu'autour mais partout em moi.
Mon imagination n'aspirait pas au silence,
Chaque seconde me paraissait immense
Et tout, à mes yeux, rayonnait de sens.
Bercés dans l'insouciance,
Comme les hirondelles dans le vent,
Nous ne cherchions pas la danse, nous y étions.
Bercés dans l'insouciance,
Comme les hirondelles dans le vent,
Nous ne cherchions pas la danse,
Nous y étion à chaque instant.
Il y a tant de choses vers lesquelles j'aimerais tendre.
Se je ne fais que passer men temps à attendre,
Cette vie sera trop courte pour me surprendre.
Je ne repousse pas au lendemain
Tous ces petits riens qui inondent mes mains.
Réapprendre à respirer,
Comme un renouveau chaque matin.
Je veux sentir mon coeur s'émerveiller
A la vue d'une fleur ou de la voie lactée
Et réentendre l'océan me hurler
Que je ne suis pas à ma place dans l'air du temps,
Qu'il faut ouvrir les bras pour accuillir le vent
Et ne plus chercher, mais être intensément.
Bercés dans l'insouciance,
Comme les hirondelles dans le vent,
Nous ne cherchions pas la danse, nous y étions.
Bercés dans l'insouciance,
Comme les hirondelles dans le vent,
Nous ne cherchions pas la danse,
Nous y étion à chaque instant.
Alrededor y en todas partes
Las estaciones pasaron rápidamente.
Sus colores, a mis ojos, ya han cambiado mucho.
A veces tiendo a olvidar
Que piso esta tierra, paso a paso,
Descubriendo lugares que no imaginaba.
Donde la hierba era mucho más alta que yo,
Donde cantaba sin temor a mi voz.
No era solo alrededor, sino en todas partes en mí.
Mi imaginación no buscaba el silencio,
Cada segundo me parecía inmenso
Y todo, a mis ojos, irradiaba sentido.
Arrullados en la despreocupación,
Como las golondrinas en el viento,
No buscábamos el baile, ya estábamos allí.
Arrullados en la despreocupación,
Como las golondrinas en el viento,
No buscábamos el baile,
Estábamos allí en cada instante.
Hay tantas cosas hacia las que me gustaría tender.
Si solo paso mi tiempo esperando,
Esta vida será demasiado corta para sorprenderme.
No pospongo para mañana
Todas esas pequeñas cosas que inundan mis manos.
Reaprender a respirar,
Como un renacimiento cada mañana.
Quiero sentir que mi corazón se maravilla
Al ver una flor o la Vía Láctea
Y volver a escuchar el océano gritarme
Que no pertenezco a este tiempo,
Que debo abrir los brazos para recibir el viento
Y no buscar más, sino ser intensamente.
Arrullados en la despreocupación,
Como las golondrinas en el viento,
No buscábamos el baile, ya estábamos allí.
Arrullados en la despreocupación,
Como las golondrinas en el viento,
No buscábamos el baile,
Estábamos allí en cada instante.