Le jour de mes 4 saisons

El día de mis 4 estaciones

Le jour de mes 4 saisons

En el día de mis dieciséis primaverasNo era emprendedor, pero tomé la mirada angustiada cuando fumé los cigarrillos.Chicos afortunados que tenían veinte años de edadSentí ganas de esconder pases secretosCuando estaba burlando el día de mi dieciséis primaveraEl día de mis treinta y cinco veranosLa hija sopló mis velas Mi madre sonrió al lado de Su mujer estalló de bellezEl día de mis treinta y cinco veranosVi en las profundidades de sus ojosTanto amor y alegría tranquila que los tumultos de la Séptima sacudieron como un canto felizYo tenía templos de plata tenía algunas arrugasPero el cielo estaba cristalino En el día de mis treinta y cinco veranosEn el día de mis sesenta y cinco veranosEn el día de mis sesenta OtoñoNi pensé para mí mismo mi viejo juego 'hizo tres cuartas partes del camino' Es hora de recordar el día de mis sesenta otoñoEl peso de dos veces treinta añosMe hará seis agenaire¿ Tendría el arte de ser abuelosPodría hablar con el pendeEl tiempo huye y no se olvide de nadieVeinte primavera fue ayer El tiempo se refleja como un negroen el día de mis sesenta otoñoNi voy a tratar de olvidar el invierno!Le jour de mes seize printempsTandis qu'au loin battait la fêteNous volions sur nos bicyclettesEt nous riions à pleines dentsLe jour de mes seize printempsJe n'étais guère entreprenantMais prenais l'allure distraiteQuand je fumais les cigarettesDes veinards qui avaient vingt ansL'air faraud je faisais semblantDe cacher des passes secrètesQuand je taquinais MarinetteLe jour de mes seize printempsLe jour de mes trente-cinq étésMa fille souffla mes chandellesMa mère souriait auprès d'elleMa femme éclatait de beautéLe jour de mes trente-cinq étésJe voyais au fond de leurs yeuxTant d'amour et de joie tranquilleQue les tumultes de la vieMe berçaient comme un chant heureuxJ'avais les tempes argentéesIl se dessinait quelques ridesMais le ciel était tout limpideLe jour de mes trente-cinq étésLe jour de mes soixante automnesJe me disais mon vieux gaminT'as fait les trois quart du cheminC'est l'heure des souvenirs qui sonneLe jour de mes soixante automnesLe poids de deux fois trente annéesMe rendra-t-il sexagénaireAurai-je l'art d'être grand-pèreSaurai-je parler au passéLe temps fuit et n'oublie personneMes vingt printemps c'était hierLe temps reflue comme une merLe jour de mes soixante automnesJ'essaierai d'oublier l'hiver !