Du Mal de Vivre

Del Mal de Vivir

Du Mal de Vivre

Hay un sendero sinuoso y solitario. Aquí está, serpenteando entre la niebla y adentrándose en el corazón de este oscuro bosque que es la melancolía.« il existe un sentier sinueux et solitaire. le voici qui serpente dans la brume et pénètre jusqu'au cœur de cette forêt obscure qu'est la mélancolie.
Al avanzar, las tinieblas crecerán. Pero la oscuridad se convertirá en aliada. Es necesario aprender porque el mal también crecerá. Aprender el frío, pobre sonámbulo en medio del desespero. Basta con seguir el camino, dejarse llevar. Porque aquí hay un mundo aislado en una mente oscura, creación de un dios loco, extraño a su origen.En avançant, les ténèbres grandiront. mais l'obscurité deviendra une alliée. il est nécessaire d'apprendre car le mal grandira lui aussi. apprendre le froid, pauvre somnambule au milieu du désespoir. il suffit de suivre le chemin, de se laisser perdre. car voici un monde isolé dans un esprit noir, création d'un dieu fou, étranger là d'où il vient.
De repente, se abre un claro en este sendero, luminoso. Un valle claro y límpido, con árboles de oro bajo el sol. Las ganas de acostarse en la hierba fresca, solo para echar una siesta. Pero al despertar, la sensación de no pertenecer es demasiado fuerte. Y luego el camino continúa en las tinieblas, a través de los pantanos. Adentrarse en la sombra. El barro ensucia la ropa y las aguas lúgubres fijan las almas.Soudain une clairière se découvre sur ce sentier, lumineuse. un val clair et limpide, aux arbres faits d'or dans le soleil. l'envie de s'allonger dans l'herbe fraîche, juste histoire de faire un somme. mais au réveil, l'impression de ne pas y avoir sa place est trop forte. et puis le chemin continue dans les ténèbres, à travers les marécages. s'enfoncer dans l'ombre. la boue souille les habits et les eaux lugubres fixent les âmes.
Siempre solo en la melancolía, el rostro y los miembros azotados por árboles odiosos. Poco a poco, una sola alternativa se vuelve posible, hay que prepararse. Alrededor, miles de velas arden pero, poco a poco, se apagan en un viento mórbido. La vida se ha retirado hace tiempo y las almas han naufragado. Es hora de dejar algunas huellas y luego desaparecer. Porque la muerte está al final del camino.Toujours seul dans la mélancolie, le visage et les membres fouettés par des arbres odieux. peu à peu une seule alternative devient possible, il faut se préparer. tout autour des milliers de chandelles brûlent mais, peu à peu, s'éteignent dans un vent morbide. la vie s'est retirée depuis longtemps et les âmes ont sombré. le temps de laisser quelques traces et puis disparaître. car la mort est au bout du chemin.
Finalmente, el descanso...Enfin le repos… »