Le petit Vieux du square St-Lambert

El casco antiguo de la plaza de St-Lambert

Le petit Vieux du square St-Lambert

Un viejecito espera a Saint-Lambertushed por los hombres y el tiempoUn viejecito espera en un banco de piedrasSi perturba a los valientes personasEn el manto de la miseriaDonde aquellos que no tienen nada que esperar al inviernoExplosión de frío, temblor de hambreElla dijo que tenía todo lo que perdió hasta la última piedra ¿Dónde está el la sociedad que cantábamos nuestros abuelos? Aquel en el que todos tenían que ser fuertes y orgullosos ¿Cómo se puede romper a un hombre y toda su vida? Y que un día profundo en sus ojosLeemos este grito silencioso Suficiente, suficiente, detener la carnicería y mirar las cosas en caraVamos, vamos, ten el coraje de darme las graciasUn viejo espera plaza Saint-Lamberta poco mayor cada mañana termina como un perro en su banco de piedra Un poco más solo, un poco más nadaEn las sombras de la indiferenciaDesde una ciudad con mil reflectoSe olvida de los golpes, los ofensoLos que amaba, lo que se dijo que él dio demasiado que habría sido mejor ser un verdadero bastardo ¿Dónde está la sociedad que nuestros abuelos nos cantaron? Los buitres lo querían, así que lo dejamos hacer. ¿Qué vale la vida de un hombre en el lío de los negocios? Este hombre desde el fondo de sus ojos lanza este grito silencioso Suficiente, suficiente, detener la carnicería y mirar las cosas en la cara. Vamos, vamos, al menos ten el coraje de darme la tumba ¡Suficiente! ¡Suficiente! ¡Detén el Carnagego! ¡Vamos! ¡Vamos! Tener un poco de curaUn pequeño anciano espera plaza Saint-Lambertushed por los hombres y el tempa pequeño anciano espera en un banco de piedras
Un petit vieux attend square Saint-LambertUsé par les hommes et le tempsUn petit vieux attend sur un banc de pierreSans déranger les braves gensDans le manteau de la misèreOù dorment ceux qui n'ont plus rienIl attend que passe l'hiverCrevant de froid, tremblant de faimOn dit qu'il avait toutQu'il a tout perdu jusqu'au dernier souOù est la société que nous chantaient nos grands-pères ?Celle où chacun devait être fort et fierComment peut-on briser un homme et sa vie entière ?Et qu'un jour au fond de ses yeuxOn lise ce cri silencieuxAssez, assez, arrêtez le carnageEt regardez les choses en faceAllez, allez, ayez au moins le courageDe me donner le coup de grâceUn petit vieux attend square Saint-LambertUn peu plus vieux chaque matinIl finit comme un chien sur son banc de pierreUn peu plus seul, un peu plus rienDans l'ombre de l'indifférenceD'une ville aux mille refletsIl oublie les coups, les offensesCeux qu'il aimait, ce qu'il étaitOn dit qu'il donnait tropQu'il aurait mieux fait d'être un vrai salaudOù est la société que nous chantaient nos grands-pères ?Les vautours en voulaient, on a laissé faireQue vaut la vie d'un homme dans le merdier des affaires ?Cet homme qui du fond des yeuxLance ce cri silencieuxAssez, assez, arrêtez le carnageEt regardez les choses en faceAllez, allez, ayez au moins le courageDe me donner le coup de grâceAssez ! Assez ! Arrêtez le carnageAllez ! Allez ! Ayez un peu de courageUn petit vieux attend square Saint-LambertUsé par les hommes et le tempsUn petit vieux attend sur un banc de pierreSans déranger les braves gens...