Chaltén

Chaltén

Chaltén

Mère roche, père cielMadre roca, padre cielo
Ton chagrin repose au pied, des neiges éternellesTu llanto descansa al pie, de los ventisqueros
Et chaque étoile se pose, sur ton sommet blancY cada estrella se posa, en tu cima blanca
Éclairant le chemin, des silencesAlumbrando el camino, de los silencios

Mère roche, (Mère roche) père ciel (Père ciel, oh)Madre roca, (Madre roca) padre cielo (Padre cielo, oh)
Parfois mon âme s'envole, avec un élanA veces me lleva el alma, con un arreo
Alors mon petit troupeau blanc, grimpe ton sentierEntonces mi piño blanco, trepa tu senda
Et mes yeux restent, dans ton mystèreY mis ojos se quedan, en tu misterio

Montagne, montagne de ma PatagonieCerro, cerro de mí Patagonia
Tu ne sais pas Chaltén, combien je t'aimeNo sabes Chaltén, cuanto te amo
Quand la neige s'effondreCuando se desploma la nevada
Et que les vents chantent dans tes fissuresY cantan los vientos en tus grietas
Dans la langue pure... de ma race...En el idioma puro... de mi raza...

Aonikenk (Aonikenk Aonikenk), ChalténAonikenk (Aonikenk Aonikenk), Chaltén
Aonikenk (Aonikenk Aonikenk), ChalténAonikenk (Aonikenk Aonikenk), Chaltén
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh ohOh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh ohOh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh
Oh..., oh...Oh..., oh...

Mère roche, père cielMadre roca, padre cielo
Le dieu adoré par les tehuelches a peint l'ÉtoileEl dios que adoró el tehuelche pintó el Lucero
Et moi qui vis à ton pied à perdre du tempsY yo que vivo en tu falda gastando tiempo
Je te chante en traversant la rivière des souvenirsTe canto vadeando el río de los recuerdos

Mère roche, (Mère roche) père ciel (Père ciel, oh)Madre roca, (Madre roca) padre cielo (Padre cielo, oh)
Frère de ma veille, je veux être montagneHermano de mi vigilia quiero ser cerro
Pour te surpasser en hauteurs de pierre éternellePara ganarte en alturas de piedra eterna
Restant toujours debout sur la terreQuedando siempre de pie sobre la tierra

Montagne, montagne de ma PatagonieCerro, cerro de mi Patagonia
Tu ne sais pas Chaltén, combien je t'aimeNo sabes Chaltén cuanto te amo
Quand la neige s'effondreCuando se desploma la nevada
Et que les vents chantent dans tes fissuresY cantan los vientos en tus grietas
Dans la langue pure... de ma race...En el idioma puro... de mi raza...

Aonikenk (Aonikenk Aonikenk), ChalténAonikenk (Aonikenk Aonikenk), Chaltén
Aonikenk (Aonikenk Aonikenk), ChalténAonikenk (Aonikenk Aonikenk), Chaltén
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh ohOh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh...Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh...