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Amitié et amertume
Sefyu
Amitié et amertume
L'amertume est un café, un sale goût amer mais ça revigore
L'amitié c'est juste le p' tit sucre qui l'accompagne, ça apaise...
L'enfance a besoin d'escorte dans le souci du lendemain
On choisi pas toujours ses potes, souvent ça vient comme ça vient
On forme des groupes qu'on supporte, croire à un destin commun
Ça rend sûr, ça enveloppe l'amitié sur le terrain
Y'a des violences qu'on voit pas, comme un sourire trop grand pour être vrai
Des bruits qui peuvent blesser, quand on s' connaît depuis le CP
Mais on sort les mauvais morceaux, parce que ça sert de parler
Surtout quand ta bande glande trop, et qu' t'as le prestige de la saluer
T'aimerais savoir tout ce qui se dit, tu flippes de te faire écraser
Car celui qui sait qui parle à qui, sait avec qui parler
C'est dit et redit, mais chaque mec que tu vas charrier
Offre des galons à prendre, un prix, une case sur le damier
On tend une main, tu tends la tienne, c'est pas comme ce sert l'étau
Tu sers un ressort qui s'agrandit dès que tu tournes le dos
Dans la société faut être le meilleur, c'est bateau
Dans le jeu social faut être le meilleur ami du plus grand salaud
La pression est de taille, l'hypocrisie est le sort
De ceux qui ont besoin de ça pour faire valoir leurs efforts
C'est toujours le même refrain, on dit à la vie, à la mort
Puis à la mort du besoin, on fait plus les mêmes efforts
Ah ! la jeunesse, si fragile et quel germe le stress
Apprentie dans un jeu social fourré de cynisme et tristesse
Si tes potes sont la meilleure arme, ça fait mal quand elle te tire dessus
Par l'abus d' confiance, déçu
Voilà, et on grandit, et on pense seul, et on assume
Et il nous reste un pote ou deux, les autres se renouvellent comme les plumes
Finit-on par accepter que ces relations nous embrument ?
Non, parce que ce qu'on aime dans l'amitié, c'est l'amertume
(Refrain)
Plus tard, tout recommence encore, parce que le besoin est là
Personne n'est surhumain, personne n'a envie d'être seul
C'est marrant, quelque soit ton statut, quelque soit l'endroit
C'est les mêmes embrouilles qu'on trouve, les mêmes histoires qu' les gens veulent
Le même jeu social des p' tits chefs, des p' tits cons, des p' tites victimes
Des meneurs, des lèches bottes, et des grandes gueules
C'est encore plus pathétique parce qu'on est moins jeune
La connerie authentique, sans excuse car l'innocence est en deuil
Monde d'adultes, de collègues ? Besoin que les collègues deviennent amis
Pour que dans les embrouilles l'affectif détache le grave
Et puis besoin de monter dans ce groupe d'amis
Pour que tu ais à ton actif un rôle pas trop brave
On s'était donné rendez-vous dans dix ans
Ah ! l' bâtard ! il a réussi l'enfoiré, putain, l' con
T'es jaloux, c'est grillé, je vois ça dans ton expression
A pas faire attention, la vérité sort d'impulsions
Et on voit sur ton visage, la faille, le truc, le p' tit défaut
Le truc qui nous sépare, par des pensées de p' tits salops
Mais on garde ça pour soit, parce qu'on te dirait parano
En fait on devient seul quand le confident devient l' ragot
Voilà, on a grandit, et on pense seul, et on assume
Et il nous reste un pote ou deux, les autres se renouvellent comme les plumes
Finit-on par accepter que ces relations nous embrument
Non, parce que ce qu'on aime dans l'amitié, c'est l'amertume
Amistad y amargura
La amargura es un café, un sabor amargo pero revitalizante
La amistad es solo el azúcarcillo que lo acompaña, calma...
La infancia necesita compañía en la preocupación por el mañana
No siempre elegimos a nuestros amigos, a menudo vienen como vienen
Formamos grupos que soportamos, creyendo en un destino común
Nos da seguridad, envuelve la amistad en el terreno
Hay violencias que no se ven, como una sonrisa demasiado grande para ser real
Ruidos que pueden herir, cuando nos conocemos desde el jardín de infantes
Pero sacamos los malos pedazos, porque hablar sirve de algo
Sobre todo cuando tu grupo se la pasa holgazaneando, y tienes el prestigio de saludar
Quisieras saber todo lo que se dice, temes ser aplastado
Porque aquel que sabe quién habla con quién, sabe con quién hablar
Se dice y se repite, pero cada chico al que vas a molestar
Ofrece galones para tomar, un precio, una casilla en el tablero
Ofrecemos una mano, tú ofreces la tuya, no es como aprieta el tornillo
Aprietas un resorte que se expande en cuanto das la espalda
En la sociedad hay que ser el mejor, es obvio
En el juego social hay que ser el mejor amigo del peor
La presión es grande, la hipocresía es el destino
De aquellos que necesitan eso para hacer valer sus esfuerzos
Es siempre la misma canción, se dice para siempre
Luego de la necesidad de muerte, ya no hacemos los mismos esfuerzos
¡Ah! la juventud, tan frágil y qué germen el estrés
Aprendiz en un juego social lleno de cinismo y tristeza
Si tus amigos son la mejor arma, duele cuando te disparan
Por el abuso de confianza, decepcionado
Así, crecemos, pensamos solos, asumimos
Y nos quedan uno o dos amigos, los demás se renuevan como las plumas
¿Terminamos por aceptar que estas relaciones nos nublan?
No, porque lo que amamos en la amistad es la amargura
(Refrán)
Más tarde, todo vuelve a empezar, porque la necesidad está ahí
Nadie es sobrehumano, nadie quiere estar solo
Es curioso, sea cual sea tu estatus, sea donde sea
Son las mismas peleas que encontramos, las mismas historias que la gente quiere
El mismo juego social de los pequeños jefes, los pequeños idiotas, las pequeñas víctimas
Los líderes, los lamebotas y los bocazas
Es aún más patético porque somos menos jóvenes
La auténtica estupidez, sin excusa porque la inocencia está de luto
Mundo de adultos, de colegas ¿Necesidad de que los colegas se conviertan en amigos?
Para que en las peleas lo afectivo se separe de lo grave
Y luego necesidad de ascender en ese grupo de amigos
Para que tengas en tu haber un rol no tan valiente
Habíamos quedado en encontrarnos en diez años
¡Ah, el bastardo! lo logró, el desgraciado, maldito idiota
Estás celoso, se nota, lo veo en tu expresión
Al no prestar atención, la verdad sale impulsivamente
Y vemos en tu rostro, la falla, el detalle, el pequeño defecto
La cosa que nos separa, por pensamientos de pequeños imbéciles
Pero nos lo guardamos, porque nos dirían paranoicos
De hecho, nos volvemos solos cuando el confidente se convierte en chisme
Así, hemos crecido, pensamos solos, asumimos
Y nos quedan uno o dos amigos, los demás se renuevan como las plumas
¿Terminamos por aceptar que estas relaciones nos nublan?
No, porque lo que amamos en la amistad es la amargura



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