Marie-thérèse

Marie-Teresa

Marie-thérèse

El tiempo ya no es para las primeras citas. ¿Recuerdas, querida, cuando vine a hablar de amor para hacerte sonreír a tu comodidad, Marie-Thérèse?El clima ya no es jardín perfumado, Pero cuando vuelva mayo, Vamos a ir a amarnos entre los arbustos, Tendremos escalofríos que nos gusta, Marie-Thérèse. Las noches de invierno no están hechas para nosotros, pero la golondrina es nuestro mensajero. Sol de abril, mi amigo para siempre, Por un día, un solo díade primavera y amor, volver rápidamente en medio deinviernodemasiado severo Con árboles verdes.Marie-Thérèse, mi primera cita, lo recuerdo esta noche, y esto es muy dulce para mí, Usted vivió en el lado de la Nantes Sevre, Marie-Thérèse. En la casa que olía a tilo, Había su abuelo pero estábamos bien solos.Recuerdo un pequeño gato que dormía en una silla, Marie-Thérèse. Me has dicho: «Te amo con amor.«Dije, «Tienes que hacerlo algún día.«Sin embargo, un día, en el tren de París, Me fui por la noche.En el ruido y la lluvia.Era otoño, y creo en diciembre, los dieciséis, Marie-Thérèse.El tiempo ya no es jardín fragante, Pero cuando vuelva mayo, Vamos a ir a amarnos en los arbustos, Tendremos escalofríos que nos gusta, Marie-Thérèse
Le temps n'est plus des premiers rendez-vous.Vous souvient-il, ma mie, quand je venais chez vousParler d'amour pour vous faire sourire à votre aise,Marie-Thérèse ?Le temps n'est plus du jardin parfumé,Mais quand reviendra Mai,Nous irons nous aimerDans les buissons,Nous aurons des frissonsQui nous plaisent,Marie-Thérèse.Les soirs d'hiver ne sont pas faits pour nous,Mais l'hirondelle est notre messagère.Soleil d'avril, mon copain de toujours,Pour un jour, un seul jourDe printemps et d'amour,Reviens-nous vite au milieu de l'hiverTrop sévèreSans arbres verts.Marie-Thérèse, mon premier rendez-vous,Je m'en souviens ce soir, et cela m'est très doux,Vous habitiez du côté de la Sèvre nantaise,Marie-Thérèse.Dans la maison qui sentait le tilleul,Il y avait votre aïeulMais nous étions bien seuls.Je me souviens d'un p'tit chat qui dormaitSur un' chaise,Marie-Thérèse.Vous m'avez dit : "Je vous aime d'amour."J'ai répondu : "Il le faut bien un jour."Pourtant, un jour, par le train de Paris,Je suis parti la nuitDans le bruit et la pluie.C'était l'automne, et je crois en Décembre, le seize,Marie-Thérèse.Le temps n'est plus du jardin parfumé,Mais quand reviendra Mai,Nous irons nous aimerDans les buissons,Nous aurons des frissons qui nous plaisent,Marie-Thérèse.