Traducción generada automáticamente

visualizaciones de letras 331
Letra

Nuestra traducción no tiene la misma cantidad de líneas que la letra original, ayúdanos a sincronizar para activar todas las opciones de traducción.

Voie

refrain:
Voie lact??ur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres n?leuses

Je me souviens d'une autre ann?
C'?it l'aube d'un jour d'avril
J'ai chant?a joie bien-aim?
Chant?'amour ?oix virile
Au moment d'amour de l'ann?

C'est le printemps viens-t'en P?ette
Te promener au bois joli
Les poules dans la cour caqu?nt
L'aube au ciel fait de roses plis
L'amour chemine ?a conqu?

Mars et V?s sont revenus
Ils s'embrassent ?ouches folles
Devant des sites ing?s
O?us les roses qui feuillolent
De beaux dieux roses dansent nus

Viens ma tendresse est la r?nte
De la floraison qui para?
La nature est belle et touchante
Pan sifflote dans la for?
Les grenouilles humides chantent

Beaucoup de ces dieux ont p?
C'est sur eux que pleurent les saules
Le grand Pan l'amour J?s-Christ
Sont bien morts et les chats miaulent
Dans la cour je pleure ?aris

refrain2:
Moi qui sais des lais pour les reines
Les complaintes de mes ann?
Des hymnes d'esclave aux mur?s
La romance du mal-aim?Et des chansons pour les sir?s

L'amour est mort j'en suis tremblant
J'adore de belles idoles
Les souvenirs lui ressemblant
Comme la femme de Mausole
Je reste fid? et dolent

Je suis fid? comme un dogue
Au ma?e le lierre au tronc
Et les Cosaques Zaporogues
Ivrognes pieux et larrons
Aux steppes et au d?logue

Portez comme un joug le Croissant
Qu'interrogent les astrologues
Je suis le Sultan tout-puissant
?mes Cosaques Zaporogues
Votre Seigneur ?ouissant

Devenez mes sujets fid?s
Leur avait ?it le Sultan
Ils rirent ?ette nouvelle
Et r?ndirent ?'instant
A la lueur d'une chandelle

Plus criminel que Barrabas
Cornu comme les mauvais anges
Quel Belz?th es-tu l?as
Nourri d'immondice et de fange
Nous n'irons pas ?es sabbats

Poisson pourri de Salonique
Long collier des sommeils affreux
D'yeux arrach??oup de pique
Ta m? fit un pet foireux
Et tu naquis de sa colique

Bourreau de Podolie Amant
Des plaies des ulc?s des cro?
Groin de cochon cul de jument
Tes richesses garde-les toutes
Pour payer tes m?caments

Voie lact??ur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Canaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres n?leuses

Regret des yeux de la putain
Et belle comme une panth?
Amour vos baisers florentins
Avaient une saveur am?
Qui a rebut?os destins

Ses regards laissaient une tra?
D'?iles dans les soirs tremblants
Dans ses yeux nageaient les sir?s
Et nos baisers mordus sanglants
Faisaient pleurer nos f? marraines

Mais en v?t?e l'attends
Avec mon cœur avec mon ?
Et sur le pont des Reviens-t'en
Si jamais revient cette femme
Je lui dirai Je suis content

Mon cœur et ma t? se vident
Tout le ciel s'?ule par eux
?mes tonneaux des Dana?s
Comment faire pour ?e heureux
Comme un petit enfant candide
Comment faire pour ?e heureux
Comme un petit enfant candide

Je ne veux jamais l'oublier
Ma colombe ma blanche rade
?marguerite exfoli?
Mon ? au loin ma D?rade
Ma rose mon giroflier

Les satyres et les pyraustes
Les ?pans les feux follets
Et les destins damn?ou faustes
La corde au cou comme ?alais
Sur ma douleur quel holocauste

Douleur qui double les destins
La licorne et le capricorne
Mon ? et mon corps incertain
Te fuient ?cher divin qu'ornent
Des astres des fleurs du matin

Malheur dieu p? aux yeux d'ivoire
Tes pr?es fous t'ont-ils par?Tes victimes en robe noire
Ont-elles vainement pleur?Malheur dieu qu'il ne faut pas croire

Et toi qui me suis en rampant
Dieu de mes dieux morts en automne
Tu mesures combien d'empans
J'ai droit que la terre me donne
?mon ombre ?n vieux serpent

Au soleil parce que tu l'aimes
Je t'ai men?souviens-t'en bien
T?breuse ?use que j'aime
Tu es ?oi en n'?nt rien
?mon ombre en deuil de moi-m?

L'hiver est mort tout enneig?On a br?les ruches blanches
Dans les jardins et les vergers
Les oiseaux chantent sur les branches
Le printemps clair l'avril l?r

Mort d'immortels argyraspides
La neige aux boucliers d'argent
Fuit les dendrophores livides
Du printemps cher aux pauvres gens
Qui resourient les yeux humides

Et moi j'ai le cœur aussi gros
Qu'un cul de dame damasc?
?mon amour je t'aimais trop
Et maintenant j'ai trop de peine
Les sept ?es hors du fourreau
Les sept ?es hors du fourreau

Sept ?es de m?ncolie
Sept ?es de m?ncolie
Sans morfil ?aires douleurs
Sans morfil ?aires douleurs
Sont dans mon cœur et la folie
Veut raisonner pour mon malheur
Comment voulez-vous que j'oublie

La premi? est toute d'argent
Et son nom tremblant c'est P?ne
Sa lame un ciel d'hiver neigeant
Son destin sanglant gibeline
Vulcain mourut en la forgeant

La seconde nomm?Noubosse
Est un bel arc-en-ciel joyeux
Les dieux s'en servent ?eurs noces
Elle a tu?rente B?ieux
Et fut dou?par Carabosse

La troisi? bleu f?nin
N'en est pas moins un chibriape
Appel?ul de Faltenin
Et que porte sur une nappe
L'Herm?Ernest devenu nain

La quatri? Malour?
Est un fleuve vert et dor?C'est le soir quand les riveraines
Y baignent leurs corps ador?
Et des chants de rameurs s'y tra?nt

La cinqui? Sainte-Fabeau
C'est la plus belle des quenouilles
C'est un cypr?sur un tombeau
O?s quatre vents s'agenouillent
Et chaque nuit c'est un flambeau

La sixi? m?l de gloire
C'est l'ami aux si douces mains
Dont chaque matin nous s?re
Adieu voil?otre chemin
Les coqs s'?isaient en fanfares

Et la septi? s'ext?e
Une femme une rose morte
Merci que le dernier venu
Sur mon amour ferme la porte
Je ne vous ai jamais connue

Camino

refrain:
Camino de leche luminosa
De los blancos arroyos de Canaán
Y de los cuerpos blancos de las amantes
Nadadores muertos, ¿seguiremos con esfuerzo
Tu curso hacia otras nebulosas?

Recuerdo otro año
Era el amanecer de un día de abril
Canté con alegría, mi amada
Canté de amor con voz varonil
En el momento de amor del año

Es primavera, ven, Pequeña
A pasear por el bonito bosque
Las gallinas en el corral cacarean
El amanecer en el cielo hace pliegues de rosas
El amor avanza hacia la conquista

Marzo y Venus han regresado
Se besan con locura
Frente a sitios desconocidos
Donde las rosas se deshojan
Hermosos dioses rosados bailan desnudos

Ven, mi ternura es la reina
De la floración que aparece
La naturaleza es hermosa y conmovedora
Pan silba en el bosque
Las ranas húmedas cantan

Muchos de esos dioses han perecido
Son sobre ellos que lloran los sauces
El gran Pan, el amor, Jesucristo
Están bien muertos y los gatos maúllan
En el corral lloro a París

refrain2:
Yo que conozco canciones para las reinas
Las lamentaciones de mis años
Himnos de esclavo en los muros
La balada del mal amado
Y canciones para los sátiros

El amor ha muerto, tiemblo
Adoro a hermosas ídolas
Los recuerdos que se le parecen
Como la mujer de Mausoleo
Permanezco fiel y doliente

Soy fiel como un perro
Al amo, el hiedra al tronco
Y los cosacos Zaporogos
Borrachos piadosos y ladrones
A las estepas y al diálogo

Lleva como un yugo la Media Luna
Que interrogan los astrólogos
Soy el Sultán todopoderoso
Cosacos Zaporogos, su Señor triunfante

Conviértanse en mis súbditos fieles
Les había dicho el Sultán
Rieron ante esta noticia
Y respondieron al instante
A la luz de una vela

Más criminal que Barrabás
Con cuernos como los malos ángeles
¿Qué Belcebú eres tú aquí?
Alimentado de inmundicia y fango
No iremos a los aquelarres

Pez podrido de Salónica
Largo collar de sueños horribles
De ojos arrancados a golpes de púa
Tu madre se tiró un pedo
Y naciste de su cólico

Verdugo de Podolia, Amante
De las llagas, las úlceras, las cruces
Morro de cerdo, trasero de yegua
Guarda todas tus riquezas
Para pagar tus medicamentos

Camino de leche luminosa
De los blancos arroyos de Canaán
Y de los cuerpos blancos de las amantes
Nadadores muertos, ¿seguiremos con esfuerzo
Tu curso hacia otras nebulosas

Lamento de los ojos de la prostituta
Y bella como una pantera
Amor, tus besos florentinos
Tenían un sabor amargo
Que rechazó nuestros destinos

Sus miradas dejaban una estela
De estrellas en las noches temblorosas
En sus ojos nadaban los sátiros
Y nuestros besos mordidos y sangrientos
Hacían llorar a nuestras hadas madrinas

Pero en verdad la espero
Con mi corazón, con mi alma
Y en el puente de los Vuelve pronto
Si alguna vez regresa esa mujer
Le diré Estoy contento

Mi corazón y mi alma se vacían
Todo el cielo se desploma a través de ellos
Ánforas de los Danaos
¿Cómo hacer para ser feliz
Como un niño pequeño y candoroso?
¿Cómo hacer para ser feliz
Como un niño pequeño y candoroso?

Nunca quiero olvidarla
Mi paloma, mi blanca rada
Margarita exfoliada
Mi alma lejana, mi Dórida
Mi rosa, mi clavelero

Los sátiros y los piróstatas
Los espíritus, los fuegos fatuos
Y los destinos malditos o faustos
La cuerda al cuello como un palacio
Sobre mi dolor, qué holocausto

Dolor que duplica los destinos
El unicornio y el capricornio
Mi alma y mi cuerpo incierto
Te huyen, dulce divinidad que adornan
Astros, flores de la mañana

Desgracia, dios pálido de ojos de marfil
¿Tus prados locos te han traicionado?
¿Tus víctimas en vestido negro
Han llorado en vano?
Desgracia, dios en quien no se debe creer

Y tú que me sigues arrastrándote
Dios de mis dioses muertos en otoño
Calcula cuántas brazas
Tengo derecho a que la tierra me dé
A mi sombra, un viejo serpiente

Al sol, porque lo amas
Te he llevado, recuérdalo bien
Tenebrosa musa que amo
Eres mía sin ser nada
A mi sombra, en duelo por mí mismo

El invierno ha muerto, todo está nevado
Se han quemado las colmenas blancas
En los jardines y huertos
Los pájaros cantan en las ramas
La primavera clara, el abril risueño

Muerte de inmortales argiraspides
La nieve en los escudos de plata
Huye de los dendróforos lívidos
De la primavera querida por los pobres
Que sonríen con los ojos húmedos

Y yo tengo el corazón tan pesado
Como el trasero de una dama damascena
A mi amor, te amaba demasiado
Y ahora tengo demasiado dolor
Las siete espadas fuera de la vaina
Las siete espadas fuera de la vaina

Siete espadas de melancolía
Siete espadas de melancolía
Sin filo, sin dulces dolores
Sin filo, sin dulces dolores
Están en mi corazón y la locura
Quiere razonar para mi desgracia
¿Cómo quieren que olvide?

La primera es toda de plata
Y su nombre tembloroso es Pena
Su hoja un cielo de invierno nevado
Su destino sangriento gibelino
Vulcano murió forjándola

La segunda llamada Nubosa
Es un bello arcoíris alegre
Los dioses lo usan en sus bodas
Ha matado a treinta bueyes
Y fue bendecida por Carabosse

La tercera, azul femenina
No es menos un chibriape
Llamado el de Faltenin
Y que lleva sobre un paño
El Hermes Ernest convertido en enano

La cuarta, Malouré
Es un río verde y dorado
Es la tarde cuando las mujeres de la ribera
Bañan sus cuerpos adorados
Y cantos de remeros se escuchan

La quinta, Santa Fabeau
Es la más hermosa de las ruecas
Es un ciprés sobre una tumba
Donde se arrodillan los cuatro vientos
Y cada noche es una antorcha

La sexta, mezcla de gloria
Es el amigo de manos tan dulces
Que cada mañana nos saluda
Adiós, aquí está tu camino
Los gallos cantaban en fanfarrias

Y la séptima se extingue
Una mujer, una rosa muerta
Gracias al último que llega
Cierra la puerta sobre mi amor
Nunca te conocí


Comentarios

Envía preguntas, explicaciones y curiosidades sobre la letra

0 / 500

Forma parte  de esta comunidad 

Haz preguntas sobre idiomas, interactúa con más fans de Léo Ferré y explora más allá de las letras.

Conoce a Letras Academy

¿Enviar a la central de preguntas?

Tus preguntas podrán ser contestadas por profesores y alumnos de la plataforma.

Comprende mejor con esta clase:

0 / 500

Opciones de selección