Déflorée a la Machette

J'avoue avoir, en sus d'un très certain sadisme
Un goût pour l'innocence et pour la bonne chair (sic),
Voir dans la jeune fille abreuvée de sophisme,
Gardant sa pureté dans un vagin de fer,
Une occasion de rire à grands coups de machette,
De m'en payer un' tranch' dans temple sacré,
De singer le boucher violant la côtelette,
Mimer l'explorateur frayant dans la forêt !

Il faut beaucoup ruser pour trouver la pucelle,
La vierge qui sera l'objet de ma passion,
Et pour trancher la fleur dans le fourreau d'icelle,
En fait de braquemard, l'arme du bûcheron !

Pour mon bon plaisir, déflorée à la machette ;
Son mont-de-Vénus labouré en profondeur !
Tout en pratiquant position de la brouette,
Il faut cultiver son jardin (avec ardeur !)

Observons le sexe poilu de la pouliche :
Aucun regard viril ne l'ayant contemplé,
Le jardinier des lieux a laissé tout en friche !
-Mais pourquoi déflorer quand on peut déboiser ?
Me demandé-je alors, saisissant par le manche
Ma hache qui soudain s'abat sur son vagin,
Qui par des va-et-vient coupe la vulve et tranche,
Réduit le clitoris comme peau de chagrin !

Déchiré l'hymen est, déchirant hyménée !
Des cuisses sur le sol s'écoule du sang frais,
L'appareil génital est réduit en purée,
Saupoudré des morceaux du bassin craquelé !

O ! instrument de ma folie mégalomane !
O ! toi mon beau hachoir ! O toi mon compagnon !
Grâce à toi j'ai moult dépecé, raclé la couenne
Et les tendons ! J'ai charcuté l'entrejambon !
Quant à mon bel amour, ce tas de chair informe
Etale ses lambeaux, vomit avec fracas
Son vagin défloré, dans un chaos énorme,
Un torrent de boyaux, de tripes et de gras !