Il était là (le fauteuil)

Él estaba allí (la silla)

Il était là (le fauteuil)

Él estaba allí, en este sillón, Mi espectador del primer día, Como un padre rebosante de orgullo Para el que tomó su turno, Él estaba allí, en este sillón, Primer testigo de mis pasos en falso, El corazón temblaba como una hoja, Creyendo que yo no sabía.Él estaba allí, en mi cocina, Teniente de Providencesending ondas de luz como el cielo de su Provenza, Él estaba allí, en esa silla, que elogió por la eternidad para aplaudirme desde la esquina de la rebeca de vez en cuando reír. Poco, me hiciste feliz, me recordaste a tu abuelo. Entre sus lágrimas y su sonrisa, no había frontera. Él estaba allí, en esa silla, Cuando hice mi primera cara, Cuando me atreví a mostrar mis amigos boca de mi clase, Lleno de modestia e indulgencia por la violencia de mis pasiones, Por esta hermosa intransigencia que seguiría a tantos concesionarios. Él estaba allí, en este sillón, Mi espectador del primer día, Como un padre desbordante de orgullo por el que tomó su turno, En el halo de la luz de punto.Viene a establecerse todas las noches como cualquier otro espectador, Pero yo soy el único en verlo. Pequeño, me hiciste un gran placer: Me recordaste a tu abueloEntre sus lágrimas y su sonrisa no era bordera.Él estaba allí en este sillón donde mi hijo mayor se sentará Cuatro generaciones le dan la bienvenida, y él ya sabe que una hermosa noche estaré allí en este sillón Su primer día espectador como un padre desbordante Para quien tome su tourpetit, le agradaráMe recordará a su abuelo. Entre sus lágrimas y su sonrisa, no había frontera
Il était là, dans ce fauteuil,Mon spectateur du premier jour,Comme un père débordant d'orgueilPour celui qui prenait son tour,Il était là, dans ce fauteuil,Premier témoin de mes faux pas,Le cœur tremblant comme une feuille,Croyant que je ne savais pas.Il était là, sur ma galère,Lieutenant de la providenceM'envoyant des ondes légèresComme le ciel de sa Provence,Il était là, dans ce fauteuil,Qu'il a loué pour l'éternitéPour m'applaudir du coin de l'œilEt de temps en temps rigoler.Petit, tu m'as fait bien plaisir :Tu m'as rappelé ton grand-père.Entre ses larmes et son sourire,Il n'y avait pas de frontière.Il était là, dans ce fauteuil,Quand j'ai fait ma première grimace,Quand j'ai osé montrer ma gueuleAux petits copains de ma classe,Plein de pudeur et d'indulgencePour la violence de mes passions,Pour cette belle intransigeanceQue suivraient tant de concessions.Il était là, dans ce fauteuil,Mon spectateur du premier jour,Comme un père débordant d'orgueilPour celui qui prenait son tour,Dans le halo du projecteurIl vient s'installer tous les soirsComme tout autre spectateur,Mais je suis le seul à le voir.Petit, tu m'as fait bien plaisir :Tu m'as rappelé ton grand-pèreEntre ses larmes et son sourireli n'y avait pas de frontièreIl était là dans ce fauteuilOù mon fils aîné va s'asseoirQuatre générations l'accueillentEt il sait déjà qu'un beau soirJe serai là dans ce fauteuilSon spectateur du premier jourComme un père débordant d'orgueilPour celui qui prendra son tourPetit tu me feras plaisirTu me rappelleras ton grand-père.Entre ses larmes et son sourire,Il n'y avait pas de frontière.